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Orphée d'amour

Orphée d'amour

Auteur: Xavier
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Chapitre 1 L'âme sœur

Nombre de mots : 3301    |    Mis à jour : 13/12/2021

ard cendre, était posée une montagne de bois de chauffe. Des bras gardant la margelle de la bassine et les autres vacillant dans tous les sens selon l’ambiance de la conservation qu

regard du monde pouvait se poser délibérément sur ce ventre plat ayant un creux pour l’ombrine. À sa hanche, des perles brillantes claquaient au rythme de sa démarche ensorcelante. Un même pagne de même nature ceint à la poitrine, enveloppait ces cuisses sans doute douces comme un velours. Ce pagne s’arrête tout juste au-dessus des genoux qui détenaient toujours la marque de l’Afrique. Elle était en réalité la grande marque de L’Afrique. Arikè et Abba avaient les mêmes ressources corporelles qui influençaient le monde masculin. Elles étaient aussi mignonnes comme leur camarade. Aujourd'hui était le jour du marché de la grande ville. Il fallait qu’elles y se rendent

Dieu, tu veux te t

joli sourire qu’elle avait suite aux mots du jeune homme. En voulant retirer sa main, le doigt de ce dern

m’a eu t

ider à l’enlever disait tendrement

jeune homme tout en essayant le

bon maintenant

célibataire un homme qui devrait en réalité

umi tout en feignant ne point entendre

t’en

pas encore fini ton fantasme ? Je veux

e et gare à toi si un jour, je te vo

it Azoumi tou

s les situations les plus acerbes. Elle retourne son foulard et croise ses mains sur sa poitrine. Elle se rappelle de ses amies qu’elle avait laissées il y a

Qu

avec ton prince charmant ?

evenu folle et que tu

nt pas à la naissance des

ures, elles réussirent à ventre leur marchandise à bon prit et s’engouffrent au cœur du marché pour les achats. Elles passèrent toute une demie journée à se promener ici et là, exposant les yeux sur toutes les étagères avec la plus grande envie de ramasser tout ce qui brillait. La femme est un être très sensible à la beauté, elle s’en difficilement indemne quand ses yeux se posent sur toute chose qui amplifiera sa clarté. Après être amusés comme toujours, elles reprirent le chemin du ret

soir

en revenue

ui

ès le dîner, elle sortait comme toutes les filles de son âge à profiter de la belle clarté de la lune à la grande place publique du village. Pendant ces moments de détente, toutes les filles dévoilaient leur talent en danse. Et quand le tambour vrombissait sous les doigts sculptés du batteur, elles laissent au rythme du son la candeur de leurs corps influencés par le sang de la jeunesse. Là, elles s’envolaient loin de la réalité de la vie, elles partaient ainsi au fin fond de la vie traditionnelle exprimer leur réjouissance d’appartenir des archives qui détiennent les reliques d’un passé lointain. E

uoi pleures-tu

nsé ce soir. Pourquoi ces lament

on ne peut comprendre que si l’on n

tir à ta douleur dit Arikè

hemin à suivre et les réalités de la tradition me montrent un autre. Rien n’est de pire embarrassant que l’opération d’un choix entre deux propositions qui marquent et marqueront soit négativement soit pos

igmatique Azoumi de

d de moi est énigmatique. Je ne sais plus où j’en

e son vent merveilleux. Azoumi soupire et se sentit vivre, vivre sans la montre peine qui viendra neutraliser ce bonheur que lui offrait le cosmos. Elle laisse ses pensées au génie du vent i

élas, cette fois-ci, il trouva confortable le lit que les documents. Un retour dans un passé récent, dans ce passé où pour la première fois, il avait vu une créature du sempiternel avec toutes les merveilles emblématiques qui composaient son essence. Il revit

eu, qui

ait en film les événements récents dont il a été acteur. Il s’évadait dans les délices de l’imagination qui permettait de r

lôture était faite de maisons construite en telle sorte qu’elles y laissent un passage pour l’entrée dans la concession. De loin, Azoumi pouvait voir la l

e tout se passe dans

e pour ma fille. L’âge avance et il faut prévo

nos us durant des années, j’implore votre sagesse à avoir l’avis de ma

es décisions de nos coutumes ? D'ailleurs on ne négocie pas avec la tr

z-vous à les recevoir avec cordialité. Et essai de conseiller les pensées

aux jugements de la tradition. L’obéissance à ses normes est bénédiction, bonheur, paix, tout de bon. Mais Azoumi ne se voyait pas encore apte à répondre de cette mission d’égérie que veulent l’imposer cette assemblée. D'ailleurs aucun coin de son cœur n’avait pas encore été éclairé par l’aube des sentiments. Elle

fille ordonna M

. C’est dans cette obéissance qu’elle alla retrouver sa fille qui, ayant entendu les pas de sa mère, s’était vite essuyée le visage pour échapper au questionna

us m’avez

me qui vient de quitter notre de

dulgence, ma curiosité n’

t venus de la part du roi. Au fait, le prince a jeté son dévolu sur ton charme et il demande ta main. Dans moins de deux mois, les procédures comme

t-elle m’offrit ses fruit

’écoute

le bonheur de l’univers. Mais ne serait-ce pas une honte que la cou

le et l’homme est conven

ion de donner le choix aux filles dans les grand

oint atteint ce seuil. Sois sûre ma fi

e pourquoi moi ? Il y a tant de fille plus Belle que moi. Je ne suis pas digne du trône, je suis loin de porter

ocement. Non ! Azoumi se voyait loin de cette campagne, elle se voyait elle, mûrie d'idée pensante, gouverner sa vie sans déboires. Mais le sort en a décidé autrement. La hardiesse l’avait enivrée de fuir cette campagne afin d’échapper à la sentence du prince. Mais fuir sera synonyme de l’

ndre sa famille à table pour voir si cette humeur pouvait se dissiper d’elle-même. Mais ce fut peine perdu et vaine entreprise car, au lieu d’apaisement, elle connaissait une croissance incommensurable. Tous les regards qu’il connaissai

ue ne veut-il pas avaler

lle mythologiq

as la troisième guerre

t’a sonnée f

Tu te crois dans une mythologie ici

ée où tu pavanes ici et là comme si

quoi parles-tu ai

is m

i existe Percé. Tu

illeurs je ne sais pas ce qui me

ici immédiatem

le pas toujours sur un bon pied dit

né le sourire à ses géniteurs. La famille était riche, immensément riche si bien qu’il ne manquait de rien. Corine était la plus âgée des filles et s’en suit Diane puis Rabi. Elles se dépassaient chacune de trois ans. Corine embrassait ses vingt-sept ans et se baignait dans ses fiançailles, Diane avait vingt-quatre et Rabi en avait vingt-un. Ce fut alors le tour de Percé que le couple avait décidé d’aller au galop pour tenter d’avoir un garçon

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