La vengeance milliardaire de la mariée éconduite

amilles. Dans ma vie passée, j'avais mis toute mon âme dans son entreprise en faillite, fai

e m'a offert une seconde chance, inondant mon

humiliant publiquement alors que j'étais piégée dans un mariage sans amour. Ils ont volé mon

juste un outil pratique, une obsessi

ent. Au gala où il prévoyait de m'humilier, je l'ai regardé droit dans les yeux et j'ai

pit

vue d'A

oup physique même dans la salle de bal bondée. C'était le même regard que j'avai

-dessus de nos têtes, se reflétant sur les sols en marbre poli. Un orchestre jouait quelque

é l'un de ses acolytes d'une voix pâteuse, poi

nts, se sont plissés en deux fentes. Ses sourcils parfaitement dessinés, un tra

rtant juste assez pour faire tourner quelqu

ait charg

ude, clairement amusés par le spectacle. Mon esto

deur – un parfum de luxe et beaucoup trop d'arrogance – m'a agressée. « Je n

e. Mes « souvenirs » m'avaient préparée à beaucoup de chos

hante pour percer le brouhaha. « Annoncer nos fiançailles à la pres

avais rien annoncé. C'était la société de sa famille et celle de la mienne, la fusio

n futur que je n'avais pas vécu, je le voyais pour ce qu'il était.

orçant mon cœur affolé à se calmer. C'était le

i-je dit, ma voix étonnamment stab

armi ses amis. Ils lui tapaie

uffoqué l'un d'eux entre deux rires. « Dis

e rougeur se propageant sur ses joues. L

« Tu as toujours été obsédée par moi, mais ça ? C'est un nouveau record de bassesse.

oute sa hauteur, so

oute, Adeline. Je te propose un marché. On peut garder les apparences. Tu veux le statut ? Le nom ? Très bien. Mais tu

, il avait au moins fait semblant de me vouloir, m'avait menée en bateau ave

oi maintenant ? Était-ce parce que je savais ? Parce que mes « s

épaule, une lueur soudaine – presque de l

ournée pour su

là. Ambre.

bués de larmes. En me voyant avec Baptiste, e

ment calibrée pour attirer l'attention. « J'ai... j'ai appris la nouvelle

a main a volé à sa bouche, et el

que de rage. « Regarde ce que tu as fait, Adeline ! »

e, lui caressant les cheveux. Ses yeux, quelques instants plus tôt remplis de mépris pour moi, cont

t de jouer, une mélod