img À la Merci du PDG  /  Chapitre 2 2 | 2.11%
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Historique

Chapitre 2 2

Nombre de mots : 1301    |    Mis à jour : 21/11/2025

a étiré ses lèvres, et mes joues sont devenues brûla

ark

recouvrait presque la mien

bby

sur le bouton de mo

comme vous va faire tout en haut

ai-je bredoui

PDG, j'imagine ?

l ne masque tout sous un sourire forcé. Il s'est penché un peu, e

vite, jol

lancé un clin d'œil avant de s'éloigner. J'ai ex

i mon téléphone. Je n'avais aucune idée de ce qu'une assistante de direction était censée faire, alors j'

e brusquement. Il m'a trouvée là, mon téléphone en main, et

z », ai-je murmuré, incapa

rvée longuement, puis so

mon c

es yeux, pris

vais pas que vou

g sur son bureau, m

e incompétence !

i la pani

. je vais vous en prépa

ur partir, mais sa voix

te faire r

semblait prêt à me

», ai-je répondu,

upiré,

Je n'ai pas besoin

en moi. Toute la pression

sans réfléchir. « J'en ai ass

éré laver des couloirs plutôt que supporter ce job. Mes talons claquaient au sol et je me sentais

m'a agrippée par la taille, me ramenant en arrière avant que j

s. Nos respirations se mêlaient, et je n'osais plus bouger. Il y avait dans son reg

homme était un mystère que je n'étais peut-être pas cen

de vue

ue les miennes. Il me tenait fermement, et malgré mes efforts, je ne po

t de me dégager doucement. Mais au lie

abitude... c'est comme ça que je

nge mais étrangement rassurante. Était-il toujours ainsi ? Et c

coude pour me remettre debout, puis

des archives, A, D et E. Je veux qu'ils

nt de franchir le seuil, il parla à nou

déjeuner pour me

te, incapable de répondre,

mander le chemin avant de partir, mais le choc m'avait laissée incapable de formuler

e blond attira mon attention. Il s'étai

malicieux qui rendait son

où se trouvent les archiv

ux, les ébouriffant légèrement,

tu veux y

es. « Mon patron m'a

t me guida vers la salle. Devant

je t'aide à

« Oui, je n'y arriverais jamais

é à l'intérieur du bâtiment, posant les dossier

u'on ait trouv

siblement fatigué lui aussi. « Ou

Il me tapota le

éjeuner. On pourrait

llai la lèv

? » insi

it déjeuner avec moi aujour

vraie raison, et refuser aurait été impoli, surto

Je pourrai y a

umina. « Parfait,

iers. « Merci, Parke

ernier moment. Trop absorbée par mes pensées, je me cog

vant les yeux, je vis mon patron, le v

tait t

l'aide... »

siers et dit simple

une limousine noire attendait. Le chauffeur salua, il mon

ortit, et je le suivis à l'intérie

e au Dream

s assîmes face à face. Les menus étaient incompréhensibles, et je commandai simplement ce que je connaissais : poulet à la provençale, soupe à l'oignon

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