vue de Lé

ur le sol du salon, entouré des fantômes d'une vie qui n'avait jamais vraiment été la m

tait une condamnation à perpétuité. La laisser partir n'était pas

ème a sonné, sonné, jusqu'à ce qu'il se coupe. Mon pouce flottait au-dessus de l'écran, ma colère se mêlan

tentative, quel

llô

use et arrogante. Une voix que je reconnaissais des pag

Delac

demandé, avec une poi

Il savait très bien qui c'était. Il s'a

Diane », ai-je di

l traîné. Je pouvais entendre le sourire narquo

ù il pouvait se le mettre, son message, quand

, la voix de Diane, étouffée mai

eux ensemble, de lui répondant à son téléphone comme s'il lui appart

demandé, sa voix

rofonde inspira

evons di

un léger bruissement, comme si ell

que tu viens

. « Je ne serai pas ton plan B, ton filet de sécurité. T

, son ton passant de la surprise à la c

de nous qui restait – une photo de vacances d'il y a deux ans, n

calme. « Je te donne exactement ce que tu veux. Une rupture ne

r un lourd soupir, un s

se opération, tu ne réfléchis pas clairem

. Son audace, me

re ça ? C'est

ça. Tu n'es

sage souriant sur la photo. « Pour la première

vant qu'elle ne

maison silencieuse, l'écran lumineux de mon téléphone offrant la seule illumination.

tait une immense photo professionnelle de notre fête de fiançailles. Nous

ressé contre le visage souriant de Diane. La toile a grésillé et a commencé à brunir. Une p

cendres noires. Le feu était la seule lumière dans la pièce, une lueur chaude et destructrice l