e de Cateri
rachin. Je suis sortie du café, resserr
s je l
sortait, contournant le capot pour ouvrir la portière passager.
s comme le ciel d'orage, ne montraient aucune surp
i fait un pas en arrière, et mon talon s'est pris dans un pavé inégal. Ma cheville s'est tordue, et une douleur
passible. Puis il m'a tourné le dos, a pris le bras d'Isabell
aissant blessée sur l
nt deux gobelets de café. Il s'est approché de mo
-t-il dit. Ce n'était pas un
re VTC, » ai-je lâché, les
'est penché, m'a soulevée dans ses bras avec une effica
propre femme ; il
n. C'était du café noir. Sa préférence. Celui que je ne buvais
d'Isabelle a murmuré : « Je crois que
incère qui m'a noué l'estomac. « Tu l'as toujours eu, » a-t-il dit, un petit sourire privé dans
ropre mari. Ils parlaient autour de moi, leur histoire c
e. Il m'y avait emmenée pour notre premier « rendez-vous », une sortie guindée et formelle un m
e ce n'avait jamais été so
ouriste dans les ru
tée. J'ai dû m'assoupir, car je me suis réveillée alors que la voiture s
sa lèvre se retroussant en un rictus méprisant.
non, Adrien, tout ne tourne pas autour de toi. Je suis une femme de
ux. Il s'est penché par-dessus la console
t un d

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