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Historique

Chapitre 4

Nombre de mots : 1391    |    Mis à jour : 11/11/2025

vue d'A

expression un masque de pure adoration et d'inquiétude. Cannelle, qui semblait en parfaite san

« Et j'ai si faim. La fumée... ça m'a asséché la gorge. Je veux... je veux des pâ

inquiétude dans ses yeux. Aucun choc. Aucune pitié. Juste une impatience froide et

uis mon visage pâle, et sa voix a claqué

du. Lève-toi et

. Ma tête tournait à cause de la commotion, mon corps éta

-je murmuré,

nce à bout. « Cannelle veut tes pâtisseries

C'était un barrage qui cédait. Cinq ans de larmes ravalées, de cris silenci

Je saigne ! J'ai la jambe cassée ! Tes hommes m'ont sorti d'un bloc o

ont rendu téméraire. Je me

s, j'ai été ton mari ! Je t'ai aimé, je t'ai respecté, je t'ai tout donné, et tu m'as traité comme si je n

en suspens, résonnant

n visage est resté un masq

agacé. « Lonzo, il est si bruya

sais, mon amour, je suis désolé, » l'apaisa-t-il, sa voix dégoulinant

ant comme un nuage d'orage. Il m'a regardé de ha

l, sa voix dangereusement douce. « Tu

i vu un étranger. Un monstre. Les derniers vestiges de mon cœur brisé se sont r

anouissant, remplacé par une lassitude

bées en un sourire sans humour.

du corps. « Emmenez-le à la chambre froide de la cuisine de l'

ateur maintenu à des températures négatives. Pour une personne dans mon é

le sol, le mouvement envoyant des poignards de do

j'ai donné des coups de pied avec ma jambe valide, j'ai crié jusqu'à ce que ma voix soit

rrifiées mais trop intimidées pour intervenir, et dans l'immense cuisine de l'hôpital.

nt dans une obscurité glaciale. Le bruit sourd du verr

muscles, mes os. L'attelle métallique sur ma jambe ressemblait à un bloc de glace brûlante. Chaque terminaison

e le froid, l'obscurité et la douleur. Je sentais

sai-je. Il va

la ne signifiait rien face à la mort. Un insti

. « S'il vous plaît ! » ai-je supplié, ma voix un croassement pathétique et gelé. « S'il vo

le

te, et la lumière aveuglante de la cuisine a inondé l'espace. L'un des gardes du corps m'a reg

pable de tenir debout. Il m'a à moitié porté, à moi

peine tenir le tamis à farine. Ma vision était floue. Le sang de la coupur

geaient en pilote automatique, suivant une recette que je connaissais par cœur, une recette que j'a

et brillantes de miel, le garde du corps

m'a pas regardé. Il a jeté un coup d'œil aux pât

urna vers le garde du corps. « Il a rempl

vers le bloc opératoire d'où j'avais été enlevé, j'ai vu Alonzo prendre

moi, une seule et unique larme s'est échappée du co

de tristesse. Ni de col

ier adieu au garçon stupide qui avait

Il m'avait com

m'emporter, une petite pensée froide s'

ser quelque chose

t à sa place, quelque chose de nouveau, de

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