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cart. Son père la méprise, incapable de voir la valeur de ses efforts. Peu importe qu'elle soit la meilleure élève e
plus faibles. Son frère, lui, détourne le regard, tout comme ses amis. Tout ce qu'elle désire, c'est fuir cette meute qui l'étouffe, rejoindre l
e lui tendre la main après un entraînement musclé. Grâce à cette rencontre, Solène découvre la
ffronter son passé et de se f
lè
ème
ent parce que Myreille l'a exigé. Myreille, ma nourrice, veille sur moi depuis toujours. Mon père, trop occupé par ses devoirs de Bêta, lui a confié la mission de m'appren
les futurs Alphas, Soren, le futur Delta, et Owen, le futur Gamma. Ensemble, ils forment une p
is où je suis revenue couverte d'ecchymoses - une marque sous l'œil, quelques éraflures au bras. J'avais
faibles cherchent à se faire remarquer par les mieux classés, espérant grimper dans la hiérarchie. Être ami avec les enfa
e, et pour mon père, c'est une faute que je paie encore. À ses yeux, je ne vaux pas mieux qu'une Oméga. Myrei
rière moi. Je me pousse instinctivement pour l'éviter, mais elle me t
retourné. Nos yeux se croisent un instant - il secoue la tête, blasé, puis s'éloigne avec Ow
ième
utres, c'est clair ?! » gronde Kaïa en me
de frapper les plus jeunes parce qu'ils te ralentissaient. » Ma voix tre
ché un cours pour aller boire un café. Maintenant, e
it un croche-pied. Je tombe lourdement, et un liquide glacé me coule s
et ses amis rient avec les aut
ais pas cette graisse de bébé et tu tomberais moi
ars, feu de ca
demande si quelqu'un, un jour, verra enfin autre
de la
s qui cliquettent, tenant Jessa - la deuxième Barbie - par le
e pas pour ne rien révéler. Elle a l'air enragée. Deux autres filles la suivent, p
er et se croyaient au-dessus des règles. Les trois forment la cour des favorites : pas gentilles, ma
protéger ceux que nous méprisons. Mon père ne m'aimait peut-être pas, mon frère aîné était le vrai bê
ains levées pour apaiser la situation. « Pourquoi tu
ir ! » crache la brune. « Elle était supposée me couvrir - me donner une note fac
e si j'étais un obstacle insignifiant. « C'est mon affaire, Solène. »
as menacé un enfant p
a, inférieure. Je n'ai pas à la respecter. » Sa façon de parler la re
en la forçant à me regarder. « Ce n'est pas
grande, certes, mais décidée. Elle tente de me contourner, mais j'oblige so
ère non plus. Personne ne veut de toi. Dégage. » Elle m'enfonce un regard, puis s'éloigne en me bousculant, Marnie juste d
gne des yeux, les larmes me piquent. Je respire profondément et rentre chez moi en priant pour que la fille ait pu s'échapper. Peut-être que je l'ai aidée ; peut-être
de la
L
ompte, puis je glisse le long des casiers, les dents serrées pour su
ein ? » murmurais
st pas un grand coup, mais ses ongles faux déchirent la peau comme des griffes. Des ricanements fusent autour, et le br
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