Ce que veulent les Alphas

un tambour, les yeux baissés, comme si cela pouva

ci. Peu importe combien de fois je suis invitée à ce genre de soirées, je n'arrive jamais à m'y faire. Je suis au milieu d'hommes qui se conn

t, mais jamais trop, jamais a

personne. Et ce soir,

oisines. Donc seules les présences masculines sont tolérées : dominants, second

main, rient trop fort. L'un d'eux a installé une oméga sur ses genoux, sa jupe remontée

était, mais leurs regards glissent vers elle, brièvement, a

pensé en fonction des désirs masculins. L'Alpha Daclan sait

que, un plateau dans les mains, lorsqu'un gamma lui assène une tape, l

t charmeur - mais ses yeux tremblen

rs le fond de la salle - et

urs, là où la lumière sculpte son visage et ses épaules. À ses pieds, une oméga r

leu sombre et une chemise blanche déboutonnée juste ce qu'il faut, sous un gilet lâche. Les couleurs claires tracent une ligne

ne aisance tranquille, presque indolente. Rien

sa force n'a rien perdu. Elle br

s ma flûte d'une seule gor

je suis jaloux. C'est moi qu

du coin de l'œil l'homme assis près de Daclan. Une sensation désagréabl

rcanis, de la me

me donne envi

quement - au contraire, il présente bien

Une odeur de pouvoir qui a s

il utilise, il jette. Là où Daclan recherche la possession, Steven che

rares. Beaucoup n'attendent plus le lien, ils choisissent simplement. Et pourtant

sa Luna, Cassandra - sa femme, sa compagne officiel

ends trop bien ce que signifie

pris d'autres co

.. je suis cell

sur moi, je me renferme aussitôt, comme s

as une personne. Il voit quelque c

ux argentés que certains trouvent beaux, d'a

sous mes vêtements. Tout le monde sait qu'elles existent. Et certains ont vu la lueur

i. Personne ne sait. Daclan me dit que je

ille, incapable de me transforme

ur ce que je suis. C'est parce que Daclan m

n. Rien de clair, mais chaque fois que l'Alpha du Lac Doré

ste que ma vie soit un

ortes du hall s'ouvre

sol de marbre - rapides

ombe, lourd

rne la

ouffle s

san

a

ffé, et toutes les têtes se tournent vers elle. Elle avance entre les tables sans presser le pas, mais

tés, et une colère froide brille dans

une coupe sans un mot, comme si le geste lui appartenait. Sa démarc

ue, même avec ce pli d

ueur presque militaire. Sa robe de soie verte laisse son dos nu, souligné d'une mince ceinture en

le cristal, puis elle observe la salle. Son regard glisse d'oméga

qu'il se bl

gorge. Elle me hait. Pas une rancœur discrète, pas une simple jalo