vue de Sé

e, un geste qui était autrefois une promesse

suppose que je rumine

voix. « C'est pour ton bien. » Il jette un coup d'œil à mon ventre. « La pr

n rauque et guttural s'échappe de ma gorge. « Il n'y a pas d'enfant », j'essaie d

son esprit, son téléphone sonne, un son strident et exig

stantanément son commandement froid pour une af

téléphone, même à quelques mètres de distance. Elle

r la chaise. Il est déjà à mi-chemin de la porte quand il s

nde-t-il, enfilant déjà le manteau sur se

ute combativité me quitte, remplacée par un calme vaste et vide. Pourquoi partagerais-je la vérité d

dis-je d

n soucie pas assez. Sans un

sourdissant secoue tout le domaine. Les lumières vacillent. Mes jambes cè

cci ! » murmure-t-elle, m'aidant à m'asseoir sur une chaise. « Vous avez toujours eu si peur du tonnerre. » Sa voix baisse,

rois avec son jet, juste pour rentrer à la maison et me tenir dans ses bras jusqu'à ce

sol, complètement seule, alors que la tempête à l'extér

e que le Don est rentré et demande

le trouve à la table de la salle à manger. Et assise à ma place, celle

ors que j'approche, son

généreuse pour rester et s'assurer que la tempête ne t'ait p

ffection possessive qui provoque en moi une vague de nausée amère. Elle se blottit co