img J'étais sa prisonnière : il est devenu mon obsession  /  Chapitre 3 Comme le destin l'avait voulu | 8.82%
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Chapitre 3 Comme le destin l'avait voulu

Nombre de mots : 1069    |    Mis à jour : 11/10/2025

semaine

. Je baissai les yeux sur la liste de courses que ma grand-mère avait soigneusement préparée et poussai un soupir. Si je rat

s me d

fants sur leurs tricycles, un oncle promenant son chien, et bien d'autres encore. Mais je dus m'arrêter net lorsque je faillis percuter un

e ne s'habillait a

i bousculé ? Vous allez bien ? » lançai-je, ench

is je préférais en être sûre. Il semblait surpris de me voir m'

l'air vieux et un peu rondouillard, mais je vous assure que je suis solide et

je avec un sourire. Mais je n'oubliais pas que j'étais pressée.

interpella le vieil homme alors

z besoin d'aide

nom de Jack Witman ? » demanda-t-i

is pas avoir déj

suis navrée de ne pas pouvoir vous aider, » r

» répondit-il d'

dans cette ville ? » repris-je, e

eunes, et je ne l'ai plus revu depuis des années. Mais maintenant que je vieillis

mais entendu parler de lui. Je suis vraiment

n'est pas grave, » répondi

bonne journée, monsieur ! J'espère que vous retrouver

hé. J'étais sûre d'arriver en retard, mais si je me dépêchais, je pou

eil homme pour lui-même, regardant la jeune fil

.

attraper les produits en solde avant qu'ils ne disparaissent. Même si j'étais arrivée un peu en retard, j'a

urrais acheter un vélo, ou au moins un petit chariot pour transporter ces sacs de courses. C

classe moyenne, avec un niveau de vie confortable. Nous avions une maison, une voiture, et j'allais dans une école privée

orts dans un accident de voiture, percutés

ait participé la veille, souffrait encore d'une gueule de bois lorsqu'il avait pris le

ment embrasée avant qu'elle n'explose. Plusieurs personnes présentes sur les lieux

matin avant de partir travailler. Ce fut un hasar

ur une soirée pyjama, et c'est en allant à l'écol

ouvent à ce

tte soirée, je serais probableme

que cela aurait été

and il prétend le contraire. Juste après les funérailles, je découvris que le soi-disant associé de mes parents avait pris le contrôle de leur e

construit s'était env

e la banque, et que cette dernière allait saisir la maison mise en garantie. Après le règlement

s cents dollars en poche et plus rien d'autre

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