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Historique

Chapitre 4

Nombre de mots : 1307    |    Mis à jour : 30/09/2025

ue de Clar

ant lentement. La blessure à mon flanc pulsait d'une douleur sourde et persistante, un rappel constant de la nuit où mon monde s'était complètement fracturé. Mon corps s'affaiblissai

et dure dans mon ventre. Il me vola

r la lumière du couloir. Mon souffle s'est bloqué. Il avait l'air fatigué, les lignes acérées de so

ue chose – pitié ? remords ? – dans son regard. Sa vue, l'odeur familière de son eau de Cologne qui flottait en

ouce de femme a appelé dep

durcie instantanément, le bref moment de vulnérabil

is. « Pathétique. Tu te morfonds ici, en essayant de me fai

te famille, je t'ai appris à te comporter. Je t'ai donné le nom d'une de la Roche

je n'avais jamais demandé à rejoindre, m'avait habillée comme

as si cruel. Elle a traversé beaucoup de choses. » Puis elle s'est tournée vers moi, ses yeux ne montrant aucune sympathie, seuleme

ressemblait à une grâce, mais je savais que ce n'était qu'un autre coup dans son jeu tord

onnement. Elle a porté une cuillerée de bouillie de riz à

a cuillère contre mes lèvres, le simple fait d'être nourrie, était un réconfort dont je n'avais

istible m'a envahie. Mes paupières semblaient peser des tonnes. La pièce a

e fut que son sourire avait

l'air était mauvaise. Ce n'était pas le léger parfum floral de ma propre chambre ;

e. J'étais dans son

étais

e, le serrant contre ma poitrine. Ambroise dormait à côté de moi, sa respira

tements étaient en tas sur le sol. Alors que je me dépêchais d'enfiler ma robe, mes jambes faibles

nt effleuré

ontact fugace, fantomatiq

e sommeil, doux et sans défense. Il y avait une lueur dans leurs profondeurs – une chal

comme si j'avais été brûlée, me relevant péniblement et enfil

ssant est venu de l'e

Sa main était pressée contre sa bouche, ses yeux écarquillé

nt avez-vous pu ? » a-t-elle

côté. Ambroise avait bondi du lit, son visage un masque de pure fureur. I

use. « Tu m'as drogué ! Espèce de petite vipère dégoûtante et m

al, c'était le regard dans ses yeux. Il n'y avait aucune trace de l'homme qui m'ava

gorge. Je devais savoir. « M'as-tu jamais aimé ? » ai-je murmuré, la v

u un éclair d'agonie, de conflit. Mais le sanglot doux et brisé

. « Non », dit-il, le mot un éclat

ux. « Laisse-moi être clair. Même si tu étais nue devant moi, en train

s. J'ai baissé la tête, fixant le sol, luttant de toutes mes forces

mbroise, non pas à moi, mais dans le vide.

fortantes et en contacts doux. « Ambroise, chéri, ne sois pas

» Il s'est tourné vers un domestique qui était apparu à la porte. « Faite

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