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L'alliance du destin

L'alliance du destin

Auteur: Xavier
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Chapitre 1 Le chemin du destin

Nombre de mots : 7782    |    Mis à jour : 02/12/2021

e ce temps sans prendre le temps de faire l’abolition féminine. Même s’il y avait de tergiversation ou son cycle n’était pas un cycle régulier, cette excentricité ne dure pas ce temps lapidaire. Et ce

connaîtra la douleur d’être une génitrice. Les envies intenses de manger tel ou tel chose se donneront rendez-vous. Les têtes déplaisantes se décuplent et même la vue de sa propre mère la dépalissera. Ce sont là les symptômes du nouvel statut que les filles s’attribuent quand elles se sentent deux à la fois dans la vie. Les dérives de la vie commencent par se faire montre dans la vie de Deva. Une fille de teint claire qui vient de fermer sa dix-huitième année alors qu’elle est en classe de terminale. Deva est une merveilleuse fille aux sourcils étoilant et à des lèvres toujours fra

l’ai tendue. Elle entre dans le salon et sa mère la foudroyait d’un de ses visages des femmes afri

as quoi et sur

et c’est pourquoi je n’ai

qui te fais au

e je suis malade et quels son

les arbres. Aussi féroce que je sois, il te faut une trentaine d’année pour m

lez-vous

u ence

mes menstrues et cela est une habitude p

allons à l’hôpital pour cla

une perte d

n temps que je t’ordonne

Ô jeunesse des jeunesses ! On court à l’ivresse de cette jeune jeunesse sans auparavant jauger ses pesanteurs qui en découleront un jour. L’on se sustente

hes et bleus entraient et sortait ici et là à la rescousse des vies moribondes. La fille à l’accueil reçut chale

dame. Bonjour

pour que vous la fassiez une analyse. Elle me

la plus profonde de cette déesse. Son sang chaud circulait avec une rapidité intense dans ses veine

l va falloir qu’elle et moi a

me je peux vous

estion de quelques minutes. V

fille, plus il transpirait. Cette dernière augmentait de puissance et le fameux docteur ne puit garder son sang-froid. Une de ses mains s’égara vers la poitrine de la perle du temps et descendit sur les cuisses de la gazelle. Lecteur j’espère que tu c

is. Et tu as peur que ta mère l’apprenne. Alors nous po

qui vous a dit que j’ai peur de dire la vérité à ma mère ? Ma

honte. A cet âge déjà tu brules les ét

lle qui a presque le même âge que la vôtre ? C’est pour m’éduquer ou pour me gâter ? N

uvent. Elle restait toujours impavide à toutes leurs critiques. Mais ce qui reste un peu étonnant, c’est que malgré sa ténacité envers les hommes, elle s’est laissé emporter par le courant du désir et très facilement, elle en récolte s

c’est à moi que tu

moi. Je ne savais pas le risqu

et tu le diras devant ton père q

r garçons et filles, elle enchaine sans plus tarder une notion qui l’est anonyme. Le manque de dialogue entre enfant et parents enfante parfois la perte de contrôle de l’enfant vis-à-vis de lui-même et de sa vie. Elle était dépourvue au sens tangible du terme de ce que c’est que les rapports sexuels. Quand on se lance dans un

tu es

stion et je veux de

suis navrée dit-elle en s’a

auteur de ta

cos. Il est de la

avenir et non pour aller le démolir. Je t’ai envoyée à l’école pour que t

suis vraim

imbécile qui t’a enceintée. Et de grâce ne

assumait de nuit comme de jour pour faire jaillir une flamme qui donnera un sens à leur vie. Mais les choses ne sont toujours pas telles que nous souhaitons qu’elles soient. De l’angoisse et à la certitude de ce mal, les deux conjoints pris leur courage à deux mains pour assurer quand bien que mal la seule fille que Dieu leur a offerte. Les courses chez les différents féticheurs, prêtres, et autre étaient une eau versée sur le dos du canard. Rien n’apporta de fruit. La convoitise des hommes sur ce mariage engendre sans doute ses vermines. Des injures ici et là entre les deux familles avaient diverti la morale des sages. Le couple en subit actuellement les peaux cassées des préjugés juste à cause d’une

uve qui pleure pour la trentième journée. Voilà le sort de la jeunesse innocente des tours de la vie. Une jeunesse complètement aveugle des réalités de la vie qui surgissent d’une force incommensurable et balaie tout sur son passage. S’en est fait et la seule solution ici présente est d’assumer ce qui nous

ela est une rareté pour toi. Viens vite pour qu’on en finisse

et son sang. Voilà la Deva que le quartier connaissait. La tigresse qui ne se laisse par prendre par n’i

on lit pour ruiner d’avantage ma vie qui prend un autre tour à cause de mon inconduite.

faire

pondre de

el acte

ceinté imbécile

sesse. Va ailleurs et cherche celui qui t’a enceintée.

e tort en disant que tu es l’auteur de ma grossesse. Et

nt, elle jouait avec les sentiments comme bon le semble. Elle est devenue communément une passe partout. Les professeurs en ont gouté à leur guise, les enfants des riches en ont sucé à bon aloi, ces camarades de classe en ont tapé avec leur vigueur. Au finish, elle n’est qu’une poubelle au sein de laquelle tout homme qui se veut se débarrasser et de satisfaire sa libido, fait appel. Triste soit son âme qui est morte depuis ces jeux d’incongruité dans lesquels elle prend son vilain plaisir de se faire dévorer par n’importe qu’elle bouche qui s’empare d’elle. Bref elle est un être humain mais vide de son humanisme féministe. Et ce qui parait le plus étonnant, elle n’a jamais été victime d’une quelconque maladie ou de grossesse. L’éducation de ses parents a été vaine et les conseils de ses amis, une sagesse à l’eau de rose. Bien au contraire, elle entrainait dans

la caressait sous un arbre ne loin de chez elle. Quand cette dernière vit son amie Deva, elle souffla à

as venue au cours ce matin ? Ne me dis pas que tu es allée fait un

rce que ma vie es

dis-tu co

ton soit disant cousin de Marcos

ais pas pris t

imée ? Je t’avais suppliée de ne pas me laisser seule

ir obligée à te coucher et éc

grande médiatrice que tu as joué pendan

lles comme une fille de cinq ans. Tu veux le sexe, tu en as trouvé alors assumes tes actes

roge-t-elle. Pathétique soit sa vie car du côté maternel et paternel, la situation est vraiment tendue avec l’entêtement du mariage de ses parents. Personne ne veut même plus entendre parler ni de ses parents ni d’elle. Deva n’avait plus d’autre chose que d’errer dans la ville, détachée du monde réel, pleurant sa vie qu’elle devrait mener si cet incident n’avait pas surgi

tin était pathétique à une seule vue. La sueur avait décoloré ce corps de velours en une fourre, ce qui justifie qu’elle n’avait pas eu la chance d’une bonne douche depuis le matin. Elle ouvre tout doucement la porte de la chambre po

auteur de t

en supplie. Aye

la réponse à ma

je sai

pond moi m

que cette gros

joindre chez lui maintenant. Vas ch

conséquences de ce que je faisais. Je ne recommencerai plus je v

tend les pleurs de Deva décupler. Elle resta dubitative quand elle vit que la situation avait pris un tour incontrôlable. Son mari exagérait en voulant mettre leur unique fille à la porte même si elle est enceinte. La situation de sa fille l’avait découragée mais elle ne bannira jamais s

i je l’ai commise par ignorance. J’en ai pris bonne note et plus jamais de ma vie, je ne commettrai plus cette erreur. Ma

aison s’était maintenant transformer en une maison funèbre. La mère pleure ici et la fille pleur là-bas et malgré cela, le père reste indifférent

ne seconde chance. Je connais ma fille

plus notre fille. Elle est mainte

ta propre fille à cause

it ? N’es-tu pas sensée la contrô

me et tu le sais bien. Mais j’accepte j’en suis un peu responsab

sa défense encore car tu ri

déplorable car elle n’acceptera jamais qu’à cause d’elle, sa mère connaisse le même sort qu’elle. Elle se rapproche d’eux et tout doucement, elle commença par ramasser ses habille

de vos familles. J’en suis maintenant consciente de la densité de mon acte qui a basculé votre vie. Vous êtes faits l’un pour l’autre et je ne serai pas cet élément qui viendra vous désunir. La vérité est amère mais il faut parfois fermer les yeux et la vomir. En me renvoyant de cette maison, vous abdiquez de votre responsabilité vis-à-vis de moi mais sachez que ce qui m’

ui répondait timidement à ses exigences. Elle a son sac sur la tête et marcha vers la maison de l’auteur de sa grossesse. Elle avait décidé d’aller à nouveau chez Marcos qui sera surement cette fois-ci avec ses parents à la maison. Elle montre sa présence par les tapes des mains. Quelques se

dre ça. Qui es-tu

ceintée. Mes parents m’ont chassée que

e j’espère q

ut et je ne dors point. C’e

alade jeune fille. Comment mon fil

as la classe ni la beauté d’une fil

diesse d’insulter

se passe ici dem

it le prototype de Marcos. Ils se ressemblaient très pour trait. C’est seulement l’âge qui les d

ire que notre fils est l’auteur de sa g

je ne l’ai

anda son père qui connaissa

e l’ai jamais vu

faire cela ? Aujourd’hui tu

e maison si tu ne veux pas

es propos vraiment suicidaires. La mère de Marcos la poussa violement et elle trébuche.

pour faire ce que tu viens d

oir. Je vais la faire

s réussit à prendre une somme dans sa poche sans chercher à la compter, ouvrit les mains de Deva et mit l’argent. Celle-ci s’en presse de cacher le montant avant que la vipère ne s’en aperçoive. Au cas échéant, elle récupéra immédiatement sans réfléchir. Quand elle atteint le niveau de son mari, elle le tire de force et poussa Deva hors de la clôture. La pauvre fille tomba de nouveau mais cette fois-ci dans la rue. Que c’est vraiment déplorable cette situation vraiment qui donne envie de pleurer sans cesse. Certaines personnes réagissent avec une grande inhumanité en tel enseigne que l’on se demande si réellement l’homme est vra

n droit devant elle, n’adresse point la parole à quelqu’un et ne se sustentant que l’eau de la rivière si elle en trouve une. Elle marchait sans une destination propice du nom. Elle est déterminée à s’arrêter là où son souffle le quittera pour de bon. Elle veut en finir avec ce monde maudit et matelasser des personnes au cœur des mammifères. Chacun de ses pas la fait éloigner de sa vie de là-bas, de ses parents qu’elle aime tant, de sa maison qui a connu sa chaleur et de son co

habitude d’en faire quand elle allait au cours. Maintenait, elle arrive à ouvrir les yeux et elle voit la lampe à pétrole qui éclaire la chambre dans laquelle elle se retrouve. Elle sent une satisfaction au tour de sa tête co

sui

rveilleux de t’ente

je fais ici ?

se recouche tout doucement. La voix qui lui parlait ne dit plus rien. Deva fixe le toit

ît vient m’ai

oir en face d’elle comme s’il se connaissait depuis longtemps. Deva avait peur car elle ne conna

te plaît. Et que

sale et fatiguée. Il fait nuit certes mais prendre une douche te fera du bien. Ne t’inquiète pas je ne te veux

om et sa provenance la rassurent. Elle le regardait faire ses navettes entre la chambre et la cour et de la cour à la douche qui se r

habille pour que je

it Deva sans trop chercher da

rendre appu

’ac

e son parcours revenaient à elle. Quand elle finit, elle fit appel au jeune homme qui vient aussitôt pour l’aider à rejoindre la chambre. Une fois dans cette dernière, elle s’assit dans la même place où elle était. La douche l’avait faite du bien. Même si la fatigue ne s’est pas encore dissipée de son corps, elle se sentait un peu

e chez toi e

s questions si seulement

choses. Une fois encore, elle l’obéit et mange abondement pour rattraper ces deux jours de famine. Quand elle finit elle remercie le jeune homm

-je ici et

es questions si tu allais

y faire

r failli mourir, tu méri

que seconde qui passe dans son sommeil. Elle fut levée par le brouhaha d’une journée peu avancée. Quand elle ouvre ses yeux, la chambre était dans un mutisme opaque. Le calme la conseille de se recoucher et de profiter de lui. Elle avait cette envie de se lever mais la fraicheur de la chambre le lui défendait de faire quoi que ce soit. Elle reste allonger pendant une vingtaine de minute ayant les yeux toujours ouverts. Elle se décide de jeter un coup d’œil au dehors et contempler le lieu où elle se trouvait. Elle voit une feuille dans sa chaussure laissée par le jeu

elle remercie le sempiternel d’avoir mis Freud sur sa route d’exilée. Le sens d’humanisme de ce jeune homme est d’une qualité incommensurable. Sans savoir qui elle est, il l’a offerte l’hospitalité la plus précieuse de la vie qu’elle n’a jamais connue. Il est des gens qui décident de sauver leurs prochains au trépas de leur vie. Cet humanisme n’a plus ses lettres de noblesse en ce monde car l’univers est devenu vraiment exécrable vu l’insensibilité d’autre personnes. Alors pour ne pas risquer de s’entrainer dans de huche, chacun préfère s’en aller droit devant lui et

t de se réveiller par le bruit de la marmite qui vient de tomber dans la chambre. Elle se lève, sort de l’autre côté du

avoir réveillé

s que je me réveille. Il est

. Je viens des cours

comme une f

nceinte. Elle fronce les sourcils et un visage de tristesse se fait place. Freud ne c

ir te retrouver. Hier tu étais dans un état vr

me sens h

pas te retrouver à la

i tu pens

is de parler dans son sommeil. Tu demandais pardon à ton père et

d était sur une chaise à un mettre de son nouvelle amie. Ensemble, ils arrangent les légumes que Freud avait pris en venant des cours sur la voix pour faire la sauce du

re à mes questions comme

entendre mademoiselle qui s’évanouit ?

t se fait-il que je m

encore ce qui me donna le courage de la venir en aide. L’exploration de ton corps m’édifia qu’elle avait marché peut-être toute une journée vue l’état hideux de ses pieds qu’elle n’avait ni mangé ni bu tout une journée. Elle avait un corps chaud de fatigue et d’angoisse. Je l’ai prise pour mettre dans ma chambre et mouillai une serviette avec laquelle j’ai essayé de l’essuyer : le visage, le cou, les brases et les pieds. Je devra

ine qu’elle entend cela. Elle note que Freud était un gentil garçon qui faisait oublier le souci des autres ne serait-ce qu’avec quelques blagues. Elle a la chance de tomber sur un jeune

sme. Elle était terrifiée car elle croyait que tout le monde était pareil. Mais elle vient d’en tirer une leçon capitale. Nous avon

isse faire dans ce monde. Mais pourquoi t’avoir infl

tions si seulement si nous finissons la

pièce de la monnaie c’est

urai le di

rendre compte. Freud fait rire à Deva par les évènements des cours. La jeune vie retrouve peu à peu sa vie de joie quand bien même la situation auxquelles elle fait face n’est pas un verre d’eau à boire. Elle s’arme de ce courage en refoulant cette situation

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