y a longtemps. Lorsque Morganese retourne en hurlant des obscénités, reportant toute la cruauté implacable et maniaque dont elle est capable de moi à ma fille, je profite
ffaissées ou se sont complètement détachées d'un côté ou de l'autre. Peut-être autrefois, cet endroit était-il agréable, les motifs décoratifs en spirale de la c
cher sous mon poids, m'empêchant de me déplacer silencieusement comme je le fais d'habitude. Je n'ai pas besoin de vérifier le numéro de l'appartement pou
ant pour ne pas me tromper dans ma conclusion, je sors de ma veste le fusil à canon scié que je n'ai légalement pas le droit de posséder ni de transporter, mais sans lequel je ne vais jamais nu
e petite fille sont blottis l'un contre l'autre. Les cris d'une femme et les hurlem
sous ses cheveux noirs courts
ais elle le dévie au dernier moment avec son avant-bras, sa veste épaisse la protégeant du coup de lame. L
Mais je n'ai pas fait un pas hors de la cuisine que Morganem'attrape les cheveux par derrière, arrachant de longues mèches noires de mon cuir chevelu. Elle enroule un avant-bras autour de mo
une casquette noire rabattue sur son visage. Je ne savais pas que Morganeavait amené des renforts, et maintenant, peu importe que je puisse lui échapper ou non. Pa
ts pour ce que
û la laiss
e et se tourne vers Priscilla. «
ce qu'elle va faire, mais elle finit par ret
il me dit d'une voix grave e
ais pas s'il s'agissait d'un passant qui s'était immiscé alors qu'il aurait mieux valu qu'il s'abst
Claraa laissée tomber par terre, je saute en tournoyant avec la planche levée au-dessus de moi à deux mains et je l'abats sur la tête de Mor
a fille », mu
-je en observant Priscilla, allongée sur le sol de la cuisine, les yeux pliss
bragés par la visière de son chapeau, attendant de voir ce qu'il va fair
serrent leur petite sœur dans leurs bras près de la porte d'entrée, allongée face contre terre sur le tapis. Je les serre for
estes déchiquetés de mon sac poubelle contenant les chaussures et les vêtements qui n'ont pas été jetés, ainsi qu'un nouveau sac poubelle. Je les attrape après avoir essuyé mes mains moites sur mon pantalon de survêtement et j'ouvre le nouveau sac poubelle lorsque l'ours grogne avec impatien
à sa veste avec ses deux poings, serrant son ours en peluche entre eux pour ne pas tomber en arrière. Elle ne m'appelle pas,
s petites mains de Liamet Sydney, une de chaque côté de moi, puis
nant,