PIT
t bien ta
chaque soir, comme si, par miracle j'avais le droit de vivre u
ai une bonne nou
est pas mon vrai père, te faisait "chier" quand il râlait devant ses matchs de foot, mais moi j'aimais bien le voir aussi investi dans quelqu
dans ta nouvelle univ
sais
tu sais ? Comme
tout sur t
trop forte, dit
cool. Ça s'était déclaré vers mes onze ans, et depuis, j'entendais les pensées de tout le monde, même des animaux, dans un rayon de vingt mètres. Je ne choisissais pas de qui, ni de quoi, je lisais les pensées, elles apparaissent comme ça, comme des voix dans ma
je trouvais ça assez glauque de payer pour acheter des êtres vivants. Mais j'adore les animaux, leurs pensées sont très simples et amusantes. Entre les chats et leur complexe de supériorité vi
oigts d’une main : ma « mère », mon « père », et mon chien Iggy. J'adorais mon chien. Il était très con, mais qu'est-ce qu'il était gentil. Un jour, j'ai tenté une expérience sur lui, ça n'a pas fonctionné évidemment, mais j’ai essayé. J'ai posé une friandise au sol, visible, puis l'ai recouvert d'un torchon
vie. Et j'aimais aussi les conversations au téléphone, car je ne pouvais pas entendre leurs réelles pensées. On s'est raconté nos aventures sur Skyrim, nos épopées maintenant légendaires sur World of Wa
, et hop, c'était parti pour ma septième université ! En effet, c'était bel et bien ma septième université. Je me suis faite virée des six autres pour « bagarres excessives », en quelque sorte. Mon « père » était plutôt fier, étant donné que je gagnai
erais bien. », et ce qui devait être son pote a renchéri : « Au point où j'en suis, je pourrais bien me la faire elle ». Je n'ai pas réagi, ça n'aurait qu'empiré les choses. Néanmoins, je me suis sérieusement demandé ce qu'il
c les hommes qui me suivent dans la rue. Il s'est mis en position de combat et a foncé vers moi si vite que je n'ai même pas pu réagir. J'avais des frissons d'excitation. Il a encore attaqué avec son poing droit, j'ai esquivé et lui ai filé un uppercut dans le ventre. Il s'est vite
fin sort
ts bien, pou
e rencontre, t'aurais pu trouver m
aiment que je v
elque chose de spécial, mais je ne savais pas quoi, mais
pourquoi je suis venu ici, me battre contre to
sonné et l'a coup
aissé mon numéro de téléphone dans ta poche,
r de moi. C'était de là que provenait ce sentiment de satisfaction, alors... J'ai pu me battre sans avantage pour moi, un combat réel, au calme, san