ccupation. « Caleb, que se passe-t-il ? Oh, Ericka ! Tu essaies maintenan
atiguée pour discuter, trop brisée pour me défendre. Quel en
« Réponds-moi ! Tu achètes une tombe ? Tu nou
hystérique a gonflé dans ma poitrine. Ils étaien
rer dehors. « Tu penses que mourir arrangera les choses ? Ce n'est pas le cas ! Tes péchés sont tr
, puis un craquement écœurant quand j'ai percuté les marches de pierre en contrebas. La
sur mon visage. Il faisait nuit. J'étais allongée dans une
aient la
iée dans un angle anormal. J'ai essayé de me redresser, mais une
isé à travers la boue et la pluie, laissant derrière moi une traînée de sang maculé
te, ni comment j'ai réussi à arrêter un taxi. Le chauffeur avait l
e lorsque je suis enfi
e salon, assis dans le n
é ton erreur ? », a-t-il demandé
ndages, la jambe dans un plâtre, le co
e murmuré, la
», a-t-il insisté en se leva
rmes du désespoir pur traçant des sill
mblait satisfait de ma détresse. Il s'est tourné et a gravi les escal
à une fête somptueuse sur un yacht. C'était pour Hailie.
antôme au banquet. J'ai observé Hailie, radieuse dans une robe de cré
ossessivement enroulé autour de sa t
mes amis. C'était l'homme qui m'av
feux d'artifice ont éclaté dans le ciel, des gerbes
'ai été entraînée avec eux. Le temps a brusquement changé
lée, j'ai perdu l'équilibre et je suis tombée par-
autre éclaboussement tout près. En levant les yeux, j'ai
voix engloutie par le vent et
isages déformés par la panique. Ca
d'un espoir désespéré
moi. Il m'a dépassée, le
es bras et l'a poussée vers la bo
e n'a vu que je sombrais sous les v