écho à la finalité de ma situation. Ils avaient pris mes vêtements, mes affaires, t
le souffle. J'ai haleté, grelottante, tandis qu'un aide-soignant
îchir, a grogné l'homme, un sourire cruel sur le vis
e qui ressemblait à d
nstruction
J'ai vomi, la bile me brûlant la gorge. Le désord
e devant de ma blouse, ses phalanges frôlant ma p
ablement proche. Tu te crois trop bien pour ça ? Je sais tout
s, s'attardant d'une manière q
oi. Mais maintenant tu es ici.
n haleine fétide m'
er un peu, hein ? Je peux être
m'éloignant de son visage lubrique et de ses mains avides, jusqu'à ce que
uille, ai-je sifflé
n son bas
aime ça. Mais fais pas semblant d'être une sa
our. Tordu et douloureux, oui, mais c'était à moi. L'entendre évoqué si crûment, par cet étr
est tendue
être une victi
s. Les fenêtres étaient barrées. Mais le
achant le lourd rideau de sa tringle. D'un mouvement fluide, j'ai enroulé le
ge. J'ai profité de l'élan pour lui donner un coup de pie
, griffant le tissu autour d
ncé à crie
s attendu.
C'est lui qui m'avait mise ici. C'était lui le monstre. S
murs étaient hauts, surmontés de barbelés et d'une clôture él
ce fil de fer plutôt que de passer
s. La douleur était un rugissement lointain. Tout ce à quoi je pouvais pens
aissait, un ange sombre pour me secourir. Mais alors que je hissais mon corps endolori au somm
t chaque os de mon corps. J'ai titubé dans les rues sombres
lectronique sur la place de la v
blic. C'était un enregistrement de moi et d'Adrien, au lit. Il n'y avait pas de nudité, mais l'audio.
r que toute la ville l'entende, était l'humiliation suprême. L'homm