tirant hors de moi-même, et la douleur que j'avais encore du choc a été aussitôt remplacée par un besoin violent de vengeance. Je n'ai pas réfléchi une seconde. Mon corps massif s'est jeté su
té l'asphalte av
air, métallique et poisseuse. Des gouttes m'ont giclé au visage. Et là, il a ri. Un ricanement creux et poisseux. Je me su
dans ses yeux a fini par s'estomper, et j'ai vu le bleu revenir, un bleu noyé dans la
un moment, perdu. C'é
pour voir un loup me bondir au visage. Je l'ai attrapé à pleines griffes, le balanç
à ses côtés, en train de repousser deux autres types. Un poids s'est formé dans ma poitri
ocs plantés dans ma jambe. Il s'est dégagé vite, prêt à m'affronter, les poils dr
rière : des bouts de verre qu'on traînait sur le bitume,
écédent. Sans réfléchir, j'ai foncé, ignorant les crocs plantés dans mon dos. Elle me mordait encore et encore,
r moi, son poids, son sang, mes muscles tiraillés. Mes doigts se sont resse
sans réussir à l'attraper. Alors j'ai sauté en arrière, l'écrasant so
faisais plus de deux mètres, mi-homme, mi-bête, et chaque centimètre de moi pouvait la blesser. Je me suis penché doucement, encadra
e. Son souffle était l
eaucoup trop vite. Et sa jambe... je sava
s. Je me suis relevé d'un bond, prêt à foncer, mais j'ai vu d'autres silhoue
ndonner Sabria. Mais
n, mon torse collé contre son corps inerte
par la nuque. Mes crocs ont plongé dans sa chair, et je l'ai secoué jusqu'à sentir ses
ttrapant aux jambes et le mettant
terposé. Il l'a percuté, plaqué au sol et lui a cogné le vi
te en vie ? » deman
Mon lycan recula un
rochant. « Regarde ses yeux. Il est co
rquée de griffes. Loren observa l'homme à terre,
d », cracha Per
Loren en lançant un regard vers nos guerriers. Il attrapa un
n sourcil. Je restai planté là, Sabria
ler ? » dit-il avec un sourire e
ur. Maintenant. Et un en
e l'herbe
'échappa, profo
'as qu'à me dire que tu veux autre chose. T
crois que l'herbe, c'est un
s. « Quand on n'a ri
oposa notre guérisseur. Il
n sac sur mon épaule, et la ti
No
x. « Tu veux qu'elle
on corps se tendit, la douleu
romit le guérisseur. Je l
manda Loren en m'envoyan
l'enfilai sa
de grand-chose », g
n flèche. Je me rappelai que je
on langage »,
s à moi », répondit Loren sèchem
ersonne ne manque de respe
ui t'appartient ? Je croyais que ton pl
-je, en suivant la direction qu'ava
er ses blessures, de préparer des
? » insista Lor
Il me suivait. Je le
e c'est ta compagne de
tournai
cheveux, secoua la tête,
Elle l'est,