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Contrat d'amour : secrets et promesses

Contrat d'amour : secrets et promesses

Auteur: Salej
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Chapitre 1 Pain d'épices

Nombre de mots : 1037    |    Mis à jour : 10/07/2025

ices et du café fraîchement moulu imprégnait la petite pièce, se mêlant au léger arôme de glaçage à la vanille encore présent dans ses mains.

e parquet, héritée de sa grand-mère, tic-tac avec une précision cruelle. Elle savait ce qu'il y avait

murmura-t-elle en

p de poing : avis d'expulsion. Date limite : trente jours pour payer la

r ne pas tomber. Tout ce pour quoi elle s'était battue ces trois dernières a

it là, dans son souvenir, vêtue d'un tablier à fleurs, les mains fermes, pétrissant sur le

ence, de l'amour et une pincée de foi. La recette

sur un tabouret pour atteindre le comptoir. Toujours fascinée pa

lle en rouvrant les yeux sur la boulangerie vide

À cette heure de l'après-midi, presque personne ne se présentait. La

es. Un sourire forcé, même si personne à l'autre bou

rière. Elle était venue récupérer le gâ

sant sa canne sur le comptoir. « Toujours s

, forçant un sourire. Elle prit la boîte blanche ornée

lo de chocolat pur fourré au br

rit la vieille femme en serrant la main de Cl

enne, ressentant la chaleur qui lui

i pas, Madame Zuleid

it rien de plus qu'une goutte d'eau dans un océan de fuites. Après le départ de sa voisine,

qui résonna dans la petite pièce. Elle pri

e Martins,

nce. Puis, une voix mas

Clara M

Ou

prévoir la remise des clés si la dette n'est pas réglée dans les délais légaux. » Clara sentit la colère monter en elle, lui brûlant la peau. Ce n'était pas juste un avis. C'était un jugement. Et qui é

it-elle en s'efforçant de garder une voix posée

s nous vous conseillons de trouver un accor

e embuée, la vieille enseigne ondulait au vent : Confeitaria Martins - Depuis 1978. Un morceau d'histoire familiale, un morceau d'el

aler ma fierté et d

e, sourire glacial, des yeux qui savaient toujours où frapper. L'héritier de tout cela. L'homme qui avait

mme si sa grand-mère l'entendait. « Je ne m

regarda la caisse enregistreuse. Un petit geste, mais suffisant pour se rappeler qu'elle était to

rtins n'était plus cette fille effrayée qui se cachait derrière le comptoir. Elle

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