vités, Alexandre Dubois tenait la main de Léa Martin. C'était le plus beau jour de sa vie. Il la regardait, sa femme, enf
a tourn
u l'église. Alexandr
», a-t-elle chuchoté, un sou
leur ami d'Alexandre, son témoin. Marc se tena
. Il ne sait pas ce que c'est que d'embrasser quelqu'un à l'autel.
de la chemise de Marc et l'a embrassé. Ce n'était pas un baiser amical. C'était long, passionné, dévorant. Le flash d'un photog
rs deux visages collés, les mains de Léa dans les cheveux de son meilleur ami. La honte, brûl
, Léa a ri. Un rire cristallin et fa
mment ? » a-t-elle demandé
paules, un sourire
ieux maintenant. Merci po
dateurs jouer avec leur proie. La colère a commencé à monter en Alexandre, une vague bouillante qui a chassé le choc et la douleur
voix, quand il a parlé, était étonnam
t term
l'autel. Sa voix a rés
remercie d'être venus. Malheure
e. Léa l'a regardé, les yeux écarqu
ce que tu fais ? Arr
esponsable de la salle de réception, qui
ssons, tout. Envoyez-la à Mademoiselle Léa Martin. Ell
té de ses parents. Sa mère pleurait en silence. Son père a posé une main lourde et récon
intérêt. Les souvenirs des trois dernières années avec Léa lui revenaient en flashs douloureux. Les cadeaux coûteux, les voyages luxueux, les chèqu
é entre Léa et Marc aujourd'hui n'était pas nouvelle. Il la voyait maintenant, dans des dizaines de souvenirs. Leurs regards échangés
nce, sa vision du monde. L'homme qu'il appelait son frère et la femme qu'il allait appeler son épouse l'avaient poignardé dans le dos