as un chaos de désordre, mais un chaos de goût. Sophie, prenant pour acquis que notre mariage ét
velours criard étaient jetés sur mon canapé en cuir. Des bibelots kitsch encombraient mes étagères. Et pire que tout, un im
ce désastre décoratif, un
hauffer l'atmosphère. C'est un peu trop... froid
regard balayant chaque objet déplacé, chaque couleur agress
je finalement demandé, ma voix basse
toine. Il l'a peint lui-même. C'est pour nous rappeler de to
faussement affectueux. « Oh, Pierre, ne sois pas si rigide. C'est notre futur foy
Son parfum, que j'avais autrefois trouvé
vase de fleurs artificielles tout aussi hideuses. C'était une petite poupée de chiff
e parcourut. Cela ressem
. Le tissu était rêche, et les épingles semblaient
i aigu en voyant l'
e ! Vien
age une parfaite composition d'inquiétude. Quand il vit la poupée, il
.. » murm
ançant des éclairs. La comédie était
faire une chose pareille ? C
é. « Faire quoi ? Je viens
pour effrayer Antoine ! Tu es jaloux de lui, ja
ur le protéger d'un monstre. Il se mit à sangloter doucement cont
l entre deux sanglots. « Pierre ne voulait
brute insensible, un homme incapable de comprendre la "sensibilité" de leur r
e de leurs manipulations, un autre test, une autre tentative pour me faire passer pour le méchant de l'histoire. Ils voulai
ses bras. Un dégoût profond m'envahit. Ils n'étaient même pas de bons
panneau. J'avais crié, j'avais protesté de mon innocenc
leur donnerais pas