evant la petite mairie du village, mon costume simple mais propre bien ajusté. J'étai
our lui offrir la vie qu'elle méritait, nous allions être unis. Je regardais la petite foule, composée de sa famille et de quelques
rutilante et chère, s'est garée juste devant la mairie avec un crissement de pneus. La musique à
ce que j'avais gagné en un an. Il avait un sourire arrogant, des lunettes de soleil de luxe posées sur ses cheveux p
d méprisant, puis ses yeux se s
a, la petite fê
en le voyant. Son visage a pâli. Puis, à mon grand étonnement, elle a
u'est-ce que
es lunettes e
d même pas que j'allais te laisser t'enfuir avec... ç
attendant qu'elle démente, qu'elle le gifle, qu'elle me défende.
vers moi. Sa voix était
t que tu comprennes. Ce mariag
u. Les visages des oncles et tantes de Chloé, qui quelques minutes
plus forte, plus assurée. "Tu n'as jamais été qu'un bon ami, un peu naïf. Tu as été utile, je ne le nie pas
omme ça qu'elle me voyait. Pas l'homme qui l'aim
sourire cruel aux lèvres. I
u doigt. Elle a été achetée avec l'argent que
ti tous les regards sur moi, avides de voir mon humiliation complète. Lentement, j'ai retiré la
l'a essuyée sur son pantalon
isant, mais qui était la pire des insu
eras toujours le bienvenu à la maison... comme un grand frère
nir le domestique de son
que je lui portais s'est évaporé, remplacé par un vide glacial. J
ulait pour "ne pas avoir l'air pauvre" devant ses amis de la fac. L'argent que je lui donnais, que je pensais destiné