it connu ma vie antérieure, ma réacti
morte une fois. E
naïve. Une jeune étudiante en design de mode qui croyait aux
uie, désorienté, prétendant avoir perdu la mémoire. Mon cœur de midinette n'avait fait qu'un bo
des vêtements, pour le nourrir. Je croyais en lui, en nous. Il était mon monde. Je dessinais d
ble modeste. Des hommes en costume en étaient sortis. Louis, mon Louis fauché et am
l'unique héritier du p
acier, m'avait toisée de haut en bas, comme
que je disparaisse. Une somme qui, à
euse. Tellement am
e argent, » avais-je san
ié, pas de l'amour. Juste un mépris glacial. Un amusement cruel. Comme
mes au milieu de mon petit appartement qui s
médias, j'ai raconté notre histoire, j'ai prétendu être en
ssi. Pour éviter le scandale, la fa
début de
et en public. Il rentrait tard, l'odeur du parfum d'autres femmes sur ses vêtements. Sa maîtresse, une mannequin c
s'amusait de
» me disait-il avec un sourire sadique.
iamants, la femme avide qui avait piégé un riche héritier. Personne ne croyait à ma souffrance. Mes parents e
urriture n'avait plus de goût. Mon seul rêve, le design, est devenu une source de doul
la où il m'avait présentée comme « son petit accident de par
oir. Je ne me reconnaissais plus. J
m'avai
te calme, désespéré. Ma dernière pensée
e me suis
avant ma première rencontre avec lui. Le soleil filtrait à travers
. Pas de tristesse, mais de soulagement. La secon
ne second
gâcher pour un homme. Cette fois
choisir
it était une femme pragmatique, résiliente, avec une seule obsession : devenir si riche et si
connaissant la fin. Accueillir le faux amnésique, jouer
proposeraient, je ne pleurer
us un chiffre avec tellement de zér
ndépendance. Je voulais le pouvoir. Je voulais construi
le premier et le plus généreux investisseur. Sa
e ironie d