bancaire professionnel auquel il avait accès, celui du logiciel de gestion des stocks. Il coupa méthodiquement tous les ponts numériques qui le relia
charpe que Sophie lui avait tricotée un hiver. Chaque objet était un souvenir, une petite blessure. Il remplit le carton sans un regard e
phie. Il ignora l'appel. Puis Marc. Il ignora aussi. Finalement, ils se présentèrent à
Qu'est-ce que c'e
son visage impassible. Il
?" demanda Marc, l'air à l
uc d'un ton plat, dénué de toute émotio
qu'elle attendait. Mais il n'y avait rien. Juste un calme effrayant. "Tu b
ux, Sophie. Ça n'a
depuis toujours, Jean-Luc. Tu ne peux pas j
Luc, son regard se durcissant un instant avant de redevenir vide. Il referma
ient lourdement. Plus tard dans la journée, en sortant faire une course, il les vit par la fenêtre du restaurant. Ils étaient attablés avec Antoine, en train de déguster sa tar
"Cher Monsieur Dubois, nous avons le plaisir de vous informer que votre candidature a été acceptée..."
oir vu au restaurant, l'appelèrent. Il fut vague,
vient aussi. Allez, viens, ça te changera les idées.
i. Je suis
. C'est ridicule. On t'attend." El
tait déjà là, riant fort. Jean-Luc s'assit un peu à l'écart. Antoine, évidemment,
. Il détestait la mangue, il y était même légère
oine. "Un jus de mangue pour moi
va tous prendre ça, alors !
oujours détesté ça. Ils étaient trop occupés à plaire au nouvel arrivant. Jean-Luc regarda le verre qu'on posa deva
rent
déçu. "La soirée ne
ouveau trio. Il était l'intrus. Il quitta le bar sans se retourner, la gorge serrée, no