inhabituelle, déchirant le silence épais qui régnait dans la pi
t toi,
la douceur ni la diplomatie. Juste cette urgence, ce besoin de réponses qu
, plus calme que jam
laisser ignorer l'existence de cet enfant ? Pourq
uis, enfin, la voix d'Iris se
la meute, à jouer l'Alpha parfait, le milliardaire intouchable. Tu
silence ? Pourquoi tu as laissé Lina
ots claquèrent comm
uvoir, pas les conséquences. Tu ne peux pas te permettre d'être faible.
une femme, notre sang, plutô
bandonnée. Toi qui as choisi le silence. Moi, j'ai fait
fa un ri
eute ? Ou proté
même de savoir s'il était vraiment à toi. Tu as renié ce que tu éta
ute qu'Iris venait de semer. Était-il allé trop loin ? Avait-il été aveuglé par sa peur, par son besoi
alors ? demanda-t-il, la vo
a. J'ai vu ce qu'elle traversait. Mais tu éta
Iris. Au lieu de me laisse
ais par comprendre. Que
meurtries, prisonnières d'un pas
is tout, que je sens le vide que j'ai creusé, que je ré
qui a été fait. Tu peux juste essa
n'était pas seulement Lina qu'il avait blessée.
éparer quand on ne sa
onnête. Avec toi-même. Et
cette confrontation était nécessaire. Le doute s'était immiscé dans son
trace visible. Juste un message crypté envoyé à un homme de l'ombre qu'il connaissait depuis des années :
Pas de risques. Rapide
C'était voulu. La patience était un
té, sans trouver le repos. Le silence se fit pesant, jusqu'à ce que son e
hurlait à la nuit, à la lune, à un vide insupportable. Cette souffrance s'insinua
on ventre arrondi, la solitude dévorante dans laquelle elle se débattait
son front. Il comprit alors que ce n'était pas seulement un rêve. C'était un appel, un
e cacher derrière ses doutes. Il devait agir, pour elle, pour cet enfant
leva, prêt à embrasser la