e savais pas où j'allais. Je marchais dans
e devais le confronter.
t poliment que Monsieur Dubois n'était pas enre
ait en vill
trouvaient les bureaux de sa maison d'édition.
nt son visage. Ma colère me donnait une é
ns un restaurant
de rires. Il était à une grande table avec un
rd était assise
. Elle avait l'air si jeune, si pleine de vie. Elle riait, la tête légèrement penchée vers lui, une mèc
le froid, à les regarder. Mo
estaurant en riant. Elles son
entleman, » a dit l'une. « Il ne laisse
charmant. Dommage qu'il ait une femme si pos
t effondré so
t de moi. La femme possessive qui empêc
pour trinquer avec Sophie. Marc a immédiatement posé sa main sur le verre de Sophie, le repoussant dou
ai ex
es bouillons spéciaux pour son estomac fragile, où je l'avais supplié d'
de l'alcool, alors qu'il m'avait laissé
balayé tou
estaurant. Le bruit a dim
table. Marc m'a vue, son sourire s'
illante qui se trouvait devant lui. Sans réfléchir, je l'ai s
rûlant a écla
C DUB
un cri rauque,
ENTEUR ! ESPÈ
it cri aigu, comme si elle était la plus grande victime, et s'est r
ns ma direction. Il s'est im
va ? Montre-
pour la réconforter, son
eune homme, s'est levé et
! Regardez ce que
ère. Ma main a heurté un débris de la marmite ca
ng coulait, se mélangeant à
, j'ai vu Marc, tenant Sophie dans ses
ble, un rire qui venait du
oix brisée par les sanglots. « Regard
t est de