. Elle était vêtue d'une robe blanche qui accentuait sa pâleur et sa prétendue
désolée ! J'ai entendu... C'e
comme un fantôme dans sa propre maison. Marc l'a serrée dans ses bras, la r
'est pas ta faute. Tu n
dur à Adèle par-dess
vraient prendre exemple
it parfaite. La victime innocente, le cœur brisé. Elle jouai
Adèle d'avoir "gâché" la soirée, de rendre Sophie mal à l'aise avec son
almer. Un peu de solit
ait totale, l'air était froid et sentait la terre humide et la moisissure. Ad
elle-même, tremblant de froid et de peur. Les heures passaient, interminables. Chaque bruit, chaque craquement dans l'obsc
e. La lumière crue l'a aveuglée. Marc se te
? Es-tu prête à ê
t plus se battre, pas maintenant. Elle a ho
éussi à murmurer. « Lai
n méprisant qui a fa
simple ? Tu m'as humilié. Tu as
vant elle, son visag
ut. Nous allons maintenir les apparences. Pour
raiment. Pas seulement égoïste et ambitieux, mais profondément cruel et vide
tapé ses thèses, organisé ses dîners avec ses collègues, élevé leur fils presque seule pendant qu'il se consacrait à sa "brillante carrière". Elle avait tout
osé des papiers sur la table de l
s. Mais nous allons fair
ension, pas de part de la maison. Elle partirait avec ce qu'elle av
i une contradiction dans son comportement. Il voulait qu'elle parte, mais il voulait aussi qu'elle reste pour sauve
ulait la brandir comme une menace, la garder sous son contrôle.
st durci. La peur a laissé place à une f
ce que je
abilisé. Il ne s'a
sûre ? Tu n'
m'éloigner de toi », a-t-elle répo
gissait de son propre égo. Et elle venait de lui refuser la satisfaction de la voir ramper.