r me manquait. La vérité était une prison dont les murs se refermaient sur moi. J'avais besoin de sorti
u dans la rue déserte, l'air froid de la nuit parisienne me brûlant les poumons. Les larmes coulaient sur mes joues, chaudes d'abord, puis g
ide et sombre depuis des années. J'avais gardé une clé, un vestige d'une autre vi
des mannequins silencieux me fixaient comme des fantômes. L'odeur de la poussière et des souvenirs m
ue chose de tangible pour confirmer ce que je savais déjà, pour que mon esprit accepte cette réalité cauchem
des lettres. Des lettres d'amour écrites par Marc, à Chloé. Des mots passionnés, des promesses d'un avenir commun, des critiques acerbes à mon sujet, me décrivant comme un "fardeau créatif". Il y avait
nnées, j'avais découvert une technique de broderie japonaise rare et j'avais voulu l'intégrer à une colle
ait r
n caprice d'artiste. Nous ne p
. Il refusait d'investir en moi, parce qu'il investissait déjà ailleurs. En Chloé. En leur avenir commun. Toute ma souffrance, ma chute, mo
, épuisée mais lucide. Le choc avait
café, comme si de rien n'était. Il m'a so
ais inquiet. Tu
e jouer le mari attentionné, le protecteur, alors que je savais q
ise. J'ai cherché un numéro dans mes contacts, celui d'un jeune homme que j'avais pris sous mon aile il y a longtemps, un assistant tal
à la deuxiè
Madame
surprise, mais
opre voix basse et urgente.
ce, puis il a répo
Dites-moi ce que
encé à planifier. Pas