mparée à la douleur qui ravageait mon âme. Ses mots tournaien
r la haine. L'image du Marc protecteur, du Marc que j'avais aimé, s'est br
ment, en m'appuyant sur
. J'ai juste sou
La peur, la tristesse, l'amour... tout avai
ter. Il a regardé la boîte en velo
le pensais pas. J
estée sil
nt de se justifier. « J'ai vu la valise, cette
rieur, sans joie. Il av
s une trousse de premiers secours et j'ai commencé à nettoyer l
ir désemparé. « La
un pas. « Ne m
t froide, mé
sa main, l
ansement et je suis ret
'une voix neutre. « Je n'aurais pas dû
omique. Il pensait que je m'excusais pour tou
t juste que tu arrêtes de faire des c
omper, me violenter verbalement et physiquem
» ai-je acquiescé dou
rrête de te pardonner. J
assuré. Il était de nouvea
a semblé hésiter. « Le parc d'attractions... si tu veux v
, non, ce serait compliqué. Et puis, Chloé se
ma voix toujours aussi calme. « Vas-y. P
ma docilité. Mais il n
e devrais y aller
lèvres ont effleuré ma joue. Il a eu un léger froncement de s
bien. On se v
sa voiture de sport démarrer en trombe,
fermé ma valise. J'ai pris mon sac à main, vérifié
regard autour de moi. Douze ans de ma vie étaient contenus entre ces murs. Et pou
membre du personnel d'entretien de la villa,
me Dub
ui
dé de vous dire quelque chos
ceris
lla. Il a dit que c'était votre cadeau d'anniversai
Un cadeau d'anniversaire livré
a vibré. Un me
ra une balançoire dessus, comme tu en as toujours rêvé. C'est mon
essage, puis le v
ours la manipulation. Un grand geste romantique pour eff
ert que je n'en veux pa
t j'ai quitté la villa,
je me la construirais moi-