ensées frénétiques quand il marche et de
embrouillées. Je lève les yeux, encore engourdie par l'intensité du regard de
e verre,
eine audible, mes yeux toujo
instant, puis il s'éloigne discrètem
n expression est hésitante, vulnérable,
ne fais jamai
entendre une phrase que j'ai déjà trop entendue. Ceux qui disent «
e lève, enlace mes doigts dans les siens, puis hisse son sac
du monde autour de nous, souriant comme deux adolescents pris dans un
ir. Le silence entre no
ulement à cause de l'anxiété, mais parce que Nate est tout contre moi. Il a enroulé ses bras au
ne voix grave, pr
pas cette porte,
, mais mon souffle se coupe quand
e-moi t
ord de mon oreille. Il prend la cart
lon, puis saisit mon visage entre ses mains. Son baiser est une tempête. Urg
pressant contre lui, mes bras s'enro
moi, mur
fais. San
t autour de lui comme si elles lui appartenaient. Il m'allonge sur le lit avec une douceur fébrile, puis se débarrass
érer du tissu qui gêne. Il retire ma chem
mise, puis déboutonne son pantalon. Celui-ci glisse à ses pieds
i, traçant du bout de mon o
es sous-vêt
e ce qu'il porte, puis fait se
j'ai reçu beaucoup de
battements précipités de mon cœur, je
tible. Heureusement, il me dérobe un instant en faisant glisser ses hanches contre les miennes avec une aisance brûlante qui fait monter la tem
nt vainement de paraître sexy et séduisante, mais je sens que m
Il embrasse mes seins avec une lenteur calculée, dessinant des cercles tortueux autour de mes tétons, provoquant en moi des frissons électriques qui me font recroqueviller les orteils. Mes mains glissent p
lèvres à certains endroits, quand je glisse doucement ma paume le long d
je demande, inqu
nt que sa bouche ne reprenne son exploration, traçant un chemin brûlant le lon
langue et ses doigts avec une magie inégalée, me faisant dériver, me perdre sur le matelas. Parfois, mes paupières sont closes, parfois je le fixe intensém
fait que ce n'est pas long avant qu'il ne me submerge d'une v
ongtemps. Ses lèvres quittent les miennes quand il s'assoit et fouille dans son jean posé au pied du lit. Il sort
egard dans le mien. Son expression est un mystère total, je ne sais pas ce qu
utre caresse mon pied, le soulevant doucement pour le poser sur so
evant lui, exposée, alors qu'il me complimente sans raison apparente. Que répondre ? «
oulés sous les miens. Je caresse son visage, me demandant pourquoi cette do
me si on avait déjà vécu ça, qu'il connaît chaque recoin de mon corps, chaque point sensible qui me fait haleter. Il me pousse ju
visage dans son cou. Il me suit peu aprè
it à nouveau en moi, que nos corps s'enroulent l'un à l'autre, que nos noms s'échappent en murmures brûlants. Nous
aussi en sécurité et, paradoxalement, aussi terrifiée. Je ne veux pas quitter cette pièce, ni qu'il devienne
mieux laisser cette nuit existe
m'éclipse en ignorant la douleur lancinante qui se