ès sa première étoile. C'était mon projet. J'avais choisi chaque meuble, chaque
ier de la porte d'entrée. 1-2
s re
. Toujours pareil. Il
nt chassée de sa vie, mais aussi de chez moi, ef
arc avait ri et dit : « C'est la date où ma vie a vraiment commencé.
ai attendu, le
rte. Ce n'était pas
t offert pour notre anniversaire. Elle se tenait là, l'air de r
u fais ici ? Marc a dit qu
use, mais ses yeux b
» ai-je dit, ma voix plus stable que je
sais pas s'il reste grand-chose. Marc a fait un grand
ais est restée près de moi
tirés des étagères, remplacés par des magazines de cuisine et des livres sur la grossesse. Sur la cheminée, no
use était vide. Mes parfums, mes crèmes, tout avait disparu. Dans la penderie, mes v
cé toute trace
ambre de Béatrice. J'avais passé des mois à la décorer. J'avais peint de
vide. Le berceau, la table à lange
é ? » ai-je demandé, ma voix
aussé les
a portait malheur. Que ça lui rappelait... toi. Et puis, notre f
re
able de chevet, à côté du lit qu'elle partageait mainte
lit même. Des photos qui couvraient les derniers mois, les mois où j'ét
e. Celle de leur enfant. En dessous, Marc avait
de. J'avais cru à son ambition, à notre projet commun. J'avais été le tremplin, et m
i me souriait toujours
. Elle n'avait aucune id