rt déguisée en jargon médical, une maladie sexuellement transmissible, incurable, agressive. Le nom de Jean-Luc Moreau, mon fiancé, ét
tôt partager, la clé froide dans ma paume. Des sons étouffés me parvenaient de
ce rapport comme une arme, hurlant ma trahison à la face du monde. J'a
l'avai
uée, s'était enfuie en courant de l'appartement. Elle avait traversé la rue sans re
. Il avait continué avec notre mariage, un piège cruel qu'il avait méticuleusement préparé. Le jour de nos noces, dans la chambre d'hôtel, il m'avait livrée à une bande d'hommes.
e m'étais réveillée quelques mois plus tôt, le jour même où je devais recevoir les résu
porte. Je ne crierai pas. Je ne sa
te s'entrouvrit sans un bruit. Le salon était baigné dans la lumière douce de l'après
pleine d'une tendresse que je ne lui avais jamais co
ntre lui, son visage
un petit virus, le médecin a dit
ar son adoration, la croyait sans l'ombre d'un doute. Il caressait ses che
La voir là, au milieu de leur trahison, provoqua une nausée violente. Mon estomac se serra, une vague de froid me parcourut l'échi
gien. Le clic fut à peine audible. Je me retournai et partis sans un
ses bras, et là, dans la sécurité de son étreinte, j'ai finalement laissé les larmes couler. Ce n'étaient pas des larmes de tristesse pour un amour perdu, m
orps secoué de spasmes. « C'est
ception. Mon père, Monsieur Dubois, était un homme d'affaires pragmatique,
. Sa voix était calme, mais chargée d'un
ais, A
tée pour le reg
ment.
ulateurs, étaient remplis d'une profonde
élie. Je me sou
us seulement ma vengeance. C'était la nôtre. Une nouvelle force, froide et puissante, s'installa dans ma poitrine. Jean-Luc et Sophie ne savaient pas à qui ils avaient affai