mon appartement. Je n'ai pas regardé le nom, je savais déjà.
C'était moi, avant. Maintenant, j'étais juste l
déc
iselle D
tolérait aucune discussion. C'était le père d'Alexandre
mascarade a assez duré. Votre frère est je
jeter en prison comme un déchet, c'était une erreur. Paul, mon petit frère, que j'avais élevé seule après la mort de notre père. Notre père
sorte que votre frère admette sa seule culpabilité. En échange, je pourrai user
a bouche. Il ne proposait pas un accord, il dictait une sentence. Il me demandait de sacrifier
en prison pour un crime qu'il n'a pas co
simple architecte. Vos plaintes sont déjà classées sans suite. Les témoins que vous avez trouvés ont soudainement perdu la
pé à toutes les portes. La police m'avait écoutée avec une politesse glaciale. Les avocats que j'avais contactés s'étaient désistés les uns après les autres, i
eux qui me demandaient pourquoi. "Jeanne, je n'ai rien fait. Je te le jure. C'est Alexandre... il m'a dit que c'était juste un jeu, un moyen de se faire un
es mensonges. J'avais
m'avait serrée dans ses bras. "Prends soin de Paul, Jeanne. Et n'oublie jamais, même dans la nui
lum
de mon père. Celle qu'il ramenait de ses missions, remplie de souvenirs et de son tr
ttends votre réponse. » a i
. C'était de la rage. Une rage pure. Ils avaient sous-estimé une chose. Ils avaient so
z au d
avant qu'il ne
ur de vieux papier et de médicaments s'en est échappée. À l'intérieur, sous des vêtements et des souvenirs
lieux. Des transactions financières illicites. Du trafic d'armes sous couvert d'aide humanitaire. Des détournements de fonds destinés à construire des
la famille
Il avait collecté des preuves pendant des années, des preuves capables de faire s'effondrer des gouvernements et des fortunes. Les dernières lettres qu'il m'avait écrites, que
t tué. Ils avaient essayé de
ié une chose. Ils ava
? Ils allaient l'avoir. Mais pas sur leur terrain. Pas dans leurs tribunaux corrompus. J'allais porter cet
ur portable. J'ai rése
Siège de l'Organisatio