avec Robert, mon mari. Mon dévouement était total, ma carr
qui il a même transféré nos biens communs. Il m'a publiquement humiliée, me trait
rappée, causant la perte de l'enfant que je portais secrètement. Non seulement il a nié ma douleur, mais il a accueilli la fa
je sois réduite à n'être qu'un obstacle à éliminer, méprisée et maltraitée par l'homme pour qui
oide s'est installée : mon corps était vide, mais mon esprit était plus aiguisé que jamais. Le divorce