ouru. J' ai couru comme jamais, poussée par l' adrénaline et la volonté de survivre. Le chaos était total. Des gens cria
t. J' étais libre. Mais alors que je reprenais mon souffle, u
ait C
cou, le collier de saphirs de ma mère. Le seul bijou que j' av
fuir, Juliette ? » a-t-ell
r venin. Elle a port
offert. Ils ont dit qu' il irait mi
r le collier, le dernier
» ai-je grogné
né dans la ruelle. « Le rendre ? Mais
saphirs, les pierres précieuses que mon père avait offertes à ma mère pour leu
primitive, a submergé la peur et la douleur. J' ai
t avec la force du désespoir. Ell
e ! Alan !
u cabaret. Alan et William. Ils m' ont
age déformé par la rage en voyant u
isine. Un couteau à huîtres. Sans une seconde d' hésita
ue mon bras allait se détacher. Le sang
aînée vers un grand bassin rempli d' eau de mer
ole. Maintenant, » a-t-il
oid m' a saisi, brûlant mes poumons. Ils m'
oi ! » a r
et mon sang, je les ai regardés
a mémoire de mon père. Vous êtes une honte po
re et encore. La douleur de mon épaule, le froid, le manque d' air... tou
cience m' abandonner, les co
lus celles d' hommes aveuglés par l' am
pas à la protéger, mais à la bri
er. Ce n'est plus une histoire
une lueur de panique dans les yeux de William.