sien m'étouffait, imprégné de l'odeur des
table de chevet, alors que chaque inspiration deve
ritée, me parvint, noyée dans le bruit des vagues et des rires : « Juliette, tu ne peux pas me
c. Il avai
s'affaisse, ma dernière pensée amère n'étant pas de mourir, ma
é m'a enveloppée
brusquement sur notre chambre parisien
chait une date qui me glaça
et lança : « Je sors. J'ai un rendez-
avait hanté ma vie pa
vant, j'aurais
une froide déterm
ssant sur mes épaules, et d'une voix que lui-même ne