li

ps encore endolori par la tension de la veille. La pièce était silencieuse, mais la présence de Damian imprégnait chaque recoin de cet es

peau nue. Mon cœur battait fort dans ma poitrine, un mélange d'excitation et de c

je refusais de montrer la moindre faiblesse. Mon regard parcourut la pièce, cherchant une échappatoire. La porte

age étrange : mes cheveux blonds en bataille, ma peau pâle marquée par quelques traces de la veille - des rougeurs à mes poignets

ai les

d'ici, murmurai

vraim

ai, le sou

nt le tracé parfait de ses muscles sous le tissu. Son pantalon sombre soulignait la puissance de se

de temps es-tu

la pièce, son pas silencieu

z long

n éveilla une vagu

lançai-je. De m'obser

n grave et sensuel qui

ouvai plaquée contre le miroir, incapable de

entir la chaleur de son souffle sur mes lèvres. Il

i moi ? m

plissèrent

que tu e

toi ! crachai-je,

t vers ma gorge. Mon cœur s'emballa quand ses doigts se refermèrent légèrement sur mon c

t-il en inclinant légèrement la

e fair

e brutal, il me retourna face au miroir. Mon ventre heurta le bord de la table en ver

l à mon oreille. Regarde à quel p

pouvais sentir chaque ligne dure de ses muscles contre mon dos, la cha

e-moi,

obe de mon oreille, déclenc

No

uis le long de mon dos. Mes paupières se fermèrent alors

s mienne, murmura-t-il. C'est

mon souffle, mes poings

. fais-tu ça

u es née pour

s effleurant ma clavicule. Ma respiration se bloqua lorsqu'il

repoussai violemment. Il recula de quelques pas, son

s pas ton j

son regard sombr

e que nou

fois, lentement, comme un

ux de moi ? lançai-je

alement contre lui. Son regard s'assombrit encore,

To

uffo

out des doigts. Je vais te briser, Eliza. Lentement. Jusqu

éteste, m

e se fit p

ssens, Eliza, ce n'

jusqu'à ce que no

t de l

a taille et me souleva du sol. En un instant, mon dos heurta le matelas, et Damia

ami

ir, Eliza. Il effleura ma gorge

se refermèrent sur mes hanches. Mon souffle s

te possé

souffle brûlant ca

gtemps que tu veux... mais

mon âme, je savais