li

blotante de quelques bougies. Mon cœur battait à tout rompre dans ma poitrine, comme s'il cherchait à s'arracher de ma cage thoraciqu

la pièce : des murs recouverts de velours, des meubles en bois massif, une grande fenêtre cachée derrière des rideaux

on poignet gauche était encore marqué par la pression des menottes e

mi

souffle sur ma peau. La brutalité de son baiser, la possessivité dans son regard... et le pire, c'était cette réaction incontrôlable d

... en re

te pensée impardonnable. Je devais fuir. J

te en bois sombre semblait loin, presque irréelle dans la pénomb

saie m

ur se

t de l'ombre, ba

s hors de cette chambre

tait une chemise noire entrouverte, dévoilant une partie de son torse sculpté. Ses cheveux sombr

epuis combien de t

de ses lèvres s'incurvant av

z long

ntant une vague de colèr

ent que tu peux me g

d sombre brûlant de cette intensité dange

s pas, Eliza

oue. Il leva une main et glissa un doigt le long de ma m

murmurai-je, la

t légèrement un sourcil. Tu es belle, f

nçai un r

suis pas

t, son regard s

es bien pl

que par un souffle. Sa main glissa lentement le long de mon bras,

der entièrement, jusqu'à ce que tu n'aie

voulais le repousser, mais

nt mon oreille du bout des lèvres. Parce que la

'aie le temps de réfléchir. Ma main s'écra

pivota légèrement sous l'impa

ce que

t mon poignet et me plaqua contre le mur. Son corps entier s

fier. Il glissa une main dans mes cheveux, tirant légèrement ma

ire voir !

, son souffle ef

dre ce que ça sign

cœur battait si fort que j'avais l'impression qu'il allait exploser. Mon co

e long de mon flanc, e

le contrôle... juste assez pour te

orge, son souffle brûlant contre ma peau. Mon sou

... souf

son regard plan

-le moi s

e ses mains. Il approcha son visage du m

ce que j

glissai le long du mur, haletante. Il me regarda avec une satis

bien,

e sans un mot de plus, me laissant

part sombre en moi savait déjà... qu'