img Le feu des Mindirs: Tome I  /  Chapitre 4 No.4 | 11.43%
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Historique

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 2203    |    Mis à jour : 20/10/2021

pit

de l’océan. La race des Holens constitua la première civilisation à s’

ofesseur à l’ac

de sa longue cape, perdue dans ses pensées. Depuis toute petite, elle avait toujours été proche de Taryl. Bien sûr, les liens entre jumeaux, chez les Holens, étaient toujours forts, bénis par les Dieux. Les enfants des souverains de Syl’Marea n’héritaient d’ailleurs jamais de la gouverne de la forêt. Le changement de commandement s’effectuait touj

a s’étaient répandues comme une poignée de sable transportée par le vent. Quelques Delyniens s’étaient approchés du grand portail avant même le lever du soleil pour demander d

tre inquiétude, a

ait bûcheron à Atalaï !

à la recherche de survivants. Et mon frère, le prince, partira dès ce matin enquêter sur l’apparition de

nous attaqueront pas bientô

rassurant sur chacun

Chaque soir, avant le coucher du soleil, d

ux, la foule s’était dispersée et L

rs. Quand elle le réalisa, elle saisit une petite cloche sur son bureau et l’agita trois fois. Un jeune serviteur entra

eures. Si quelqu’un me cherche, pourrie

pales et s’éclipsa discrètement en direction de la ville. Le château se trouvait au centre de Delyn. Le grand portail du palais donnait directement sur les quartiers marchands de la cité, elle n’eut donc aucun mal à rejoindre les rues principales. Elles étaient étran

nstallé dans un coin de la salle, et de Sylvin, qui nettoyait des chopes derrière le bar. Quand il aperçut Lycia, qui venait de faire tomber sa capuche sur ses épaules, le tavernier lui lança un regard empli de tristesse. Il lui fit signe de s’approcher et elle s’installa au comptoir. Sans un mot, il po

olée… dit-ell

tête et se versa

illard. Je suis sûr qu’il s’est simplement arrêté à Farys et qu’i

Farys est délicieuse, tu ne p

ssurante sur celle du tavernier. Elle voulut parler, mais ne trouva pas les mo

*

le prenait des cours d’escrime… « Le combat n’est pas une activité pour les dames, encore moins pour une princesse», lui avait-il dit un jour. À cette remarque, elle avait hurlé de rire. Et quand elle avait découvert qu’il était sérieux, elle s’était contentée de tourner les talons, sans un mot. E

ttendait. Contrairement à Lycia, il n’avait pas les oreilles légèrement pointues et ne portai

s’exclama-t-elle en s’avançant vers lui.

ans lequel il était installé et

alors je me suis dit que

al à résister. Musclé et élancé, il était d’une grande bienveillance, malgré son air hautain et la fierté enracinée sur s

ia. Allez-vous remplacer mon professeur o

r

plus de choses en matière de combat que ce v

un regard faus

Ce « vieux rabougri », comme vous dites, étai

de plus

tout dit.

dernière phrase

ent est sans faille, c’est différent quand il

n’était plus aussi vif et aguerri que dans ses jeunes anné

ou préférez-vous bavarder

laça en face de Dorian. Vive comme l’éc

compensait chacune de ses lacunes avec force et intelligence. Globalement, il était impossible de savoir qui

*

mains. La princesse posa son regard sur le visage de Dorian. Ses joues étaient rougies par l’effort et sa

-il ? dema

pas passé à la capitale s

a les sourc

pas à vous jus

monstres don

transforma. Elle l’o

nt avez

la raconte, j’ai bien peur que vous ne v

le regard. Inquiète, Lycia prit les mains de son ami entre les siennes. Enfin, il plongea son regard dans celui de

t-il. Mon employeur m’a chargé de retrouver l’un de ses collaborateurs sur Kerythir. Je ne pe

faisant ressortir les lig

que l’homme que je recherchais n’était plus là, et je m’apprêtais à reprendre ma route. Puis, j’ai entendu comme un bourdonnement. En me retournant, j’ai compris qu’il venait d’un de vos hôtels. Un talisman y était déposé, et j’étais étonné, car je n

ur battait fort dans sa poitrine, si fort qu’elle redou

e choc m’a propulsé en arrière. Devant moi, naissant de l’obscurité, d’horribles monstres sont apparus. Leur peau était percée et une horrible fumée, aussi noire que la nuit, aussi épaisse que de l’huile, dégouli

a poitrine et agrippa

vie. J’ai d’abord cru que ce n’avait été qu’un rêve, jusqu’à ce que j’aperçoive une petite lumière à l’orée de la forêt. Je n’avais jamais vu d’Espr

evant Lycia. Il agrippa ses

une seule seconde de mon employeur, jamais je n’aurais accepté cette mission. Je respecte les

e dos à Lycia. Pendant le discours de son ami, L

ori

se leva et s’approcha doucement, l’invitant à se tourner. Déva

qu’il s’est passé à Atalaï. C’est moi q

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