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Historique

Chapitre 3 No.3

Nombre de mots : 1657    |    Mis à jour : 16/09/2021

ait que l’autre existait. Tous les deux se diffamaient sans trop savoir pourquoi. Il y avait entre eux une gémellité spiri

e de supposées victimes, car à l’exception des assertions possiblement travesties, d’un

qui cherchait à mettre des volumes en lévitation et de l’autre une forme d’ante quelque chose qui se nourrissait des faux pas de celui-ci. La vie quoi ! Ici un illuminé,

ait, l’autre restait ce q

r, bien mis de sa personne, la barbe étrillée depuis la veille, alla l’âme légère, placer son

l’autre. En combinant des arrangements non aléatoires de pièces entre elles

n art, sa vie durant, dépend souvent d’une logi

es qui dataient déjà, l’audacieux personnage, engoncé dans une gausape fatiguée, mal agrafée sur sa poitrine, se plaça à distance pour mieux apprécier l’alignemen

s nus, des nuits et des jours. Sa chute pesante éclaboussa un large environnement. Fort heureusement, la matière en décomposition, en amortissant sa dé

use, une antienne qu’il espérait depuis des lustres et qui semblait venir d’un philharmonique virtu

il était pour sûr un être

ndes en glaise et en mélangeant les sons que celles-ci en tournant à des vitesses différentes pouvaient prod

endormit, apaisé, dans une raideur c

dée, par quelques dysfonctionnements dont il s’accommoda. Ses ouvrages étaient maintenant disséminés dans un désordre cosmique infiniment grand, et les vap

guer pour la première fois, celui qu’il considérera à jamais comme son rival intime : le tenancier de l’étrange cambuse. En effet ! Celui-ci, avachi sur le haut de la dernière pièce monumentale, paré d’un chapelet de crâne

ible, ne raconte-t-il pas le

à distance raisonnable, au travers d’une vue feutrée, se toisaient avec suffisance. L’un, entouré d’une faune confondante, semblait sourire par séquence, béatemen

r belliqueuse, dévasté dans son amour propre par ce qu’il ne pouvait ne pas voir, souffrait qu’un déchaînement de

ations plus terribles les unes que les autres. Les deux ne cesseront plus de s’affronter que pour la conquête d’une suprématie dans l’évolution de leur univers commun. À l’évidence, l’Inconnaissable, cet être

mutantes des e

nt et par quel phénomène elles avaient pu arriver là. Était-ce le résultat d’une conjonction entre la matière

ique, on ne pouvait pa

amphibies, des méduses diaphanes copulaient à proximité de sauriens déjantés. Non loin de ces ersatz de stégocéphales, des vertébrés volants, au cou flexible, à l’od

qui venaient s’aventurer dans les parages. Ces dragons qui sillonnaient les forêts de Cycadales restaient en altitude pour

ran de la pire espèce qui se tenait, narines en excroissance sur le sommet du museau, en quête d’un pillage de quelques ammonites qui pourraient ressem

n absence copiner avec ces survenances démoniaques. Il se demandait si ce qui venait de se produire était un simple accident mental, qui serait le résultat de

ur sans-souci qui interprétait ses

un antidote à son existence du moment. Cet Inconnaissable venait bel et bien de franchir pour la première fois, un passage entre le néant et le chaos. L

, comment s’est-il donc fallu que ces rêves

’accidentelle. Malheureusement, le temps, ce constructeur d’horizons qu’il ne savait pas apprivoiser, n’était pour l

frénétiquement pour chasser de son esprit une vision cauchemardesque et ignorer une menace qui le défiait. N’arrivant cependant pas à se départir de l’halein

des heures, passèrent et repassèrent, jusqu’à l’insta

rétractant son torse à la manière d’un guerrier se préparant au combat, de la fétidité olfactive e

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