urs avec Lucas, avec la meute. Elle espérait qu'un jour, elle pourrait reven

ollègue et se précipita aux toilettes, essayant de calmer l'estomac qui se rebellait. Ce n'était pas la première fois ces derniers jours qu'ell

ng de la journée, son esprit était ailleurs, préoccupé par cette nausée persistante. En rentrant chez e

lignes rouges apparaître. Positif. Elle était enceinte. Une tempête d'émotions la submergea : peur, confusion, et un peu d'espoir. Mais bi

coulèrent librement sur ses joues. Comment allait-elle gérer ça toute seule ? Lucas... son esprit se tourna vers lui instin

yant de se convaincre. « Pour eux, je dois le faire. » Ces petits êtres dépendaient d'elle maintenant. Ils

sa grossesse. Elle cacha son ventre grandissant sous des vêtements amples et se força à ignorer les regards cur

e travail, de cours, et de longues nuits de révisions. Chaque instant était une lutte pour jongler entre

ndra sur le canapé. Les bébés semblaient agités, et elle caressa doucement son ventre, e

ur partager ses craintes et ses espoirs. Mais elle ne pouvait pas risquer de révéler son pa

fois, entendre leurs cœurs battre lors des échographies, c'étaient des petits miracles qui la motivaie

vait une allure mystérieuse, avec des cheveux bruns en bataille et des yeux perçants. « Salut, » dit-il en s'app

ces, surtout maintenant. Mais quelque chose dans son regard sincère la poussa à

diant en médecine lui aussi, et ils se découvrirent des intérêts communs. La conversation coula f

mblait vraiment s'intéresser à elle. Pourtant, Stella gardait ses distances, ne voulant

c invita Stella à dîner. « Je connais un petit restaurant ita

se, mais à mesure que les mois avançaient, cela devenait de plus en plus difficile. E

rire et à oublier, ne serait-ce que pour un moment, ses préoccupations. Mais

de ta famille, » dit-il douc

e garda son calme. « Ils ne sont plus dans ma vie, » répo

ux remplis de compréhension. « Je suis désol

son soutien silencieux. « Ce n'es

Thompson, était une femme compatissante et compétente. « Les bébés se portent bien, » dit-elle avec un sourire

nte des conseils. « Merci, docteu

gue, elle ressentait une détermination féroce. Elle se battait pour ses enfants, po

a grossesse. Marc restait une présence constante et rassurante dans sa vie, bien qu'elle n'ait toujours pas

, Marc se tourna vers elle, le visage sérieux. «

ne pouvait pas lui offrir ce qu'il voulait. « Marc, tu es une person

ner. « Alors dis-le-moi. Je veux tout savoir sur to

s menaçant de couler. « Je ne p

lus. « Très bien. Mais sache que je s