minente. « Je comprends. Je vais rentrer aussi. Nous nous reverrons plus tard. » Ils échangè

dente dans son esprit. Elle sentait une nouvelle confiance en elle-même et en son avenir avec Lucas. C

entendit frapper à sa porte. C'était Émilie, son amie proche, avec un air pré

n immédiate. « Qu'est-ce

vant de parler. « C'est Lucas. Il a tr

Mais... » Les mots lui manquaient, et une douleur aiguë t

ée, Stella. Il ne le savait pas avant. Elle est arrivée ce matin pou

. « C'est tellement injuste, » murmura-t-elle, sentant les larm

is. Mais il doit prendre une décision maint

t son courage, elle se dirigea vers le grand hall, où la meute se réunissait souvent pour les annonces im

une jeune femme magnifique, aux cheveux blonds et aux yeux verts perçants. Elle rayonnait d'une

nation à une douleur visible. Il prit une profonde inspiration avant de parler.

is elle se força à rester silencieuse, ses yeux rivés sur Lucas. Il continua, la voix tremblante. « En tant qu'alpha, j

ait pour retenir ses larmes, son monde s'effondrant autour d'elle. Elle n'entendait plus

nt à se disperser. Lucas s'approcha d'elle, son visage marqué par la douleur et la co

ssentait. « Lucas, je... Je comprends. C'est ton destin, et je ne peux pas m

e recula instinctivement. « Je dois partir, Lucas

la, s'il te plaît. Ne pars pas.

librement maintenant. « De vivre comme si de rien n'était

able de trouver une réponse

rtir. » Avec ces mots, elle tourna les talons et quitta la sal

s. Chaque objet qu'elle rangeait lui rappelait un souvenir partagé avec Lucas, ajo

oir partir ? » deman

e cette maison, chaque sentier de cette forêt, tout me rappelle lui. J'a

son amie. « Si c'est ce que tu veux, je

t-être dans une ville humaine. Je trouverai un emploi,

rires malgré la tristesse palpable. Avant de partir, elles se prire

e la meute, gravant chaque détail dans sa mémoire. Elle savait que c'

ns ses pensées, se demandant comment elle allait reconstruire sa vie. Elle savait q

ours furent solitaires et difficiles, chaque coin de la chambre lui rappelant ce qu'elle avait laissé de

. Les clients réguliers et les collègues devinrent une distraction bienvenue, lui offrant un semb

tinuer à avancer, à se reconstruire, même si cela signifiait faire face à la doule

son travail, apprenant à apprécier les petites joies et les nouveaux amis qu'elle se faisait.