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Historique
La Femme de mon Mari

La Femme de mon Mari

Auteur: Doufali
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Chapitre 1 Le départ

Nombre de mots : 1616    |    Mis à jour : 04/06/2021

ME DE

PIT

par sa mère, elle devait avoir cinq ans la dernière fois qu’il avait mis les pieds dans ce village. Aujourd’hui, âgée de dix-neuf ans, elle ne se souvenait p

ui dire que l’homme qui allait devenir son mari depuis toujours allait rentrer. Elle avait alors eu

ce mariage avait été d

chance sœurette, lui so

promis à quelqu’un avant de savoir distinguer les

ta naissance au fils de mon frère en ville. Je

e scolaire qui tirait bientôt à sa fin ? Et que pouvait-elle bien dire à ce

s de la ville, elle n’avait jamais eu la chance de le quitter pour voir ce qui se cachait dehors. Pourtant, on raconte que la vie était belle dans les villes: de grands écrans de télévision, de hauts bâtiments, une nouvelle technologie hors du commun, etc.

re. Beaucoup de choses manquaient dans ce village, mais ce qui constituait sa richesse, ce dont les habitants se réjouissaient c’est l’amour, la tolérance et le partage qui y régnait: dès qu’une ch

*

elles faisaient face. Ayant grandi dans une famille polygame, elle fut le seu

t pour un seul homme. Combien de fois avait-elle assisté à des dispute

armes qui perlaient sur les joues de sa m

Qu’importe l’attitude qu’aura ton mari à ton égard, n’élève jamais ta voix devant lui et ne lui manque jamais de respect. Il est le chef et il ne peu

jamais tu ne qui

e ? Elle regardait chaque coin et recoin pour ne rien oublier. Elle avait déjà la nostalgie de son

ue tu les rejoignes, lui dit-elle

ent à son père de l’avoir choisi elle comme celle qui devait épouser le riche jeune homme. Il cou

penser d’elle ? Pour faire une bonne impression, elle avait choisi le style naturel. Étant d’une beauté rare, elle semblait tout droit sortir d’un de nos contes africains qui narraient l’existence de la beauté des femmes ensorcelantes. El

gard et les filles la jalousaient. Pourtant, elle n’était pas consciente de cette beauté qui faisait que be

endit-elle dire la femme qu

avoir son approbation, elle

nifique ! Entendi

uoi bon être magnifique, si cela devait rester éphémère. Ne pouvant y résist

ester. Obéissante comme toujours, elle resta sur place et les écout

qui, dès qu’elle sortira de ce village accompagn

orité se réjouissait de ce mariage, ceci du fait que sa belle-famille avai

nce pour avoir la bonne

r pour le départ,

s sa case. Elle se leva en faisant signe de respec

is une femme doit tourner le dos à son mari et que jamais tu ne dois te refuser à lui. Il est ton maître, ne discute jamais ses ordres, ré

ettre au poignet. Le jour où elle l’avait mis pour la première fois, sa mère le lui avait arraché des mains, disant que c’était un cadeau de sa grand-mère le jour de son mariage à elle. Depuis lors, s

venir lui rendre visite à chaque fois qu'elle le pourra. En réalité, ces mots n’étaient que pour la réconforter. Les préparatifs étant finis, elle sortit de la case sous les derniers conseils de sa mère. Elle regardait cette voiture dans laquelle se trouvaient déjà ses petites affaires. On

’éloigner. Elle regardait encore et encore derrière elle jusqu’à ne plus voir des tas d’arbres derrière

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