cela l'h

siez-vous de l'h

e magnifique, je n'aurai imaginé q

able. J’étais restée muette devant cet art magnifique tant l'histoire m'a touchée, d'une manière que je ne me l'expliquai ni n’aurai pu dire. Et lorsque le sommeil s'empara de moi et m'emmena loin, très loin, dans ce monde de nature, là où me réincarnant, je pris la forme d'un oiseau arc en ciel, et que je gambadais dans les

is pas. Et quand je voulus revenir sur mes pas, je ne pus le faire, car des griffes dorées s'emparèrent de mon corps. Je ne fus plus capable de m'enfuir. J'étais désemparée mais ce qui était le plus étrange, ce n'était pas mon empris

e s'effaça totalement… un petit peu seulement… juste un bref

ntenant, il est déjà 7h. Fiona a déjà fini sa

devais courir vingt-cinq minutes, puis acc

clone. Cela ne me fit pourtant pas rire, mais m'intrigua. Quand Maman le vit, ses yeux s'illuminèrent de milles étoiles célestes. Cette métamorphose m'éblouis complètement. Elle le reçut dans notre salon. Je fus permise d'assister à leur discussion, et tandis qu'il parlait des actua

s passe vite. Mère fit consta

Ou

que les hommes puissent posséder, et il a e

pas, protesta tendrement Cyclone. Il

er Maman. Enfin d’après ce q

revoir, mais on ne peut pas h

´les lumières éblouissantes des feux du néant de la cité. Vous étiez si jeunes. Avant en entendant ce qu'on disait de vous, je m

n fus même changé. Je devins plus sensible aux émotions. Je fus heureux

ycl

té ne peut changer, alors autant acce

itra devant la porte ou chanter dans la nuit… serait-il malheureux de

à lui, mais tu n'as pas le

mps ou je t'ai jalousé, tant jalousé que s

s aimé plus que toi. Fit

rent e

parfa

être cher avec les autres, et surtout si cet autre occupe la premièr

que tu cesseras de m

avoir autant aimé. Et si on devait bien regarder les choses dans leur ent

à nouveau

temps. Je sortais seulement de l'enfance quand j'ai découvert l'histoire de maman. Son cœur était resté fidèle à son grand amour. Même lorsqu'

n acte. Mais justement pour toutes ces raisons, je me s

staux. Ne sachant quoi faire, j'ai pris les devants et dévalant les escaliers, j'ouvris la portière et me lançai à

. Je pris le bol dans mes mains, le contemplait, pour quelle raison au juste ? Bof, qu'importe, j'ai pensé pouvoir trouver des réponses à mes questions, mais le bol n'était qu'un bol. Je détournai mon regard de son corps poli et le déposa comme si son toucher me répugnait et aussi me fit trahir la mémoire d

ai-je piteuse. Suis-je méchante ? Po

fait. À cet instant Fiona entra dans la cuisine, adorable dans sa robe fleurie, et constata les débris de porcelaine sur le c

aire, bousculant ma sœur au passage, qui voulut me retenir, mais j’

érie, r

e me retenir quelques instants plutôt. Mais

ité qui apaisait le cœur. Les vents jouaient dans mes cheveux et l'emplirent de parfum naturel. Devant tant de beauté j'ai pu comprendre mes réactions. Il me fallait grandir et accepter l'i

aman d'avoir aimé cet homm

pportable, mais probablement plus une vie. Je voulais croire qu'elle a tenté elle aussi d'aimer ainsi père, mais que jamais elle n'a pu y arriver sans doute. Et si père lui-même ne lui

qu'à mes genoux, et déjà l'horizon insaisissable était teinte de la nuit, prête à recouvrir la terre. Tout cela incita ma tendresse. Mais j'étais sale, la sueur de mon corps me dégoûtait, je continuai malgré tout mon chemin pou