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gnore ce que cela te fait, j’avoue que ça m’apais

ieu de me tenir dans le bureau, je suis au salon,

teurs s'offusqueraient d'entendre cela. Ils diraient surement que le chocolat fait grossir

yé l'alcool et le lendemain de mes abus, mes soucis attendaient au seuil de l

aguement aux pots de fabrications de

st pas un cri de tristesse cette fois-ci, mais plutôt celui de contra

is là où avant, je me sentais exister sans rien

ns un coin de la maison, prend soudain une signification

is visionné hier. J'ai ce souvenir en le regardant, de la période où e

éjà beaucoup, là, tu étais devenu une o

destination inconnu, se perdant en chemin là où je vivais. Un papillon de passage malgré lui, et nos regards ne se croisaient plus que très peu. Et alors même qu

te. Et aujourd'hui, c'est avec le courage que j'ai ressenti la première fois que je l'ai fait, que je traverse la mer de mes

ssez de leçon sur l'affection. Je ne sais pas ce que c'est et je la fuis, ca

et encore plus de ceux posés sur les lèvres. J'ai peur des caresses qui enlèvent les

ns mon école de la vie, ou devrais-

st une chose belle et est comme un trésor tendre, un collier que l’on p

non plus qu’il disparaisse. J'avais peur de l’utiliser, parce que je me disais qu’il n’allait pas me protéger de la pluie. Pire que ça, je me disais qu'à l’intérieu

aman. Je craignais d'effleurer le tissu formant les ailes de cet

, je me dis que peut-être au travers de ce parapluie, j

ais insisté pour que l’on m’

engagée après la mort de maman, découvr

tait là, et alors qu'elle s'apprêtait à soulever le parapluie

répétais, tenant avec force sa robe b

ne crise, j'ouvris la porte et en moins d'une seconde, vis le visage de maman. Alors, que je

l'ignorais et allais monter dans la voiture, espérant que le chauf

ire la différence entre les larmes causées par

me trouve des habits de rechange afin que je ne tombe pas malade. L'école avait par la

si. “Ton père te gâte vraiment trop. Tu lui fais dépenser de

ais non, tu savais, hein, que ce parapluie était comme

ie pour toujours. Oui, le voir posé là te faisait sans doute penser quelle était quelque part dans

s passaient avec toi au téléphone. Sûrement, tu lui parlais de maman. Je

d'avoir trente ans et allait en mariage. Elle s'excitait pour s

le ferai, lorsque mon cœur sera totalement libre. Quand je serai

s dimanches désormais et lorsque je finis le boulot, le mercred

ent t’expliquer cela. Je suis curieuse de tout e

nom d’Abigaël. Je vais t’avouer que j’ai été attiré miraculeusement ve

À ce moment, nos yeux se sont croisés et j’ai senti le même vent chaud qui entourai

t, elle a fondu en larmes et m’a expliqué qu’elle venait de perdre son

on mari se bat contre elle pour prendre

voici que je voyais combien des enfants désiraient quelque

le ventre me fit douter du fait que je voulais vraiment connaître ta

ien

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