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Historique
Survivre à l'enfer des Hommes

Survivre à l'enfer des Hommes

Auteur: IBIZAR
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Chapitre 1 Préambule

Nombre de mots : 2927    |    Mis à jour : 17/12/2023

l’enfer des

ui se compose de la réalité de la force

or H

amb

di

rme les yeux, me raccrochant au conseil donné par la borgne : ‘’Ferme les yeux Fadia, évade toi, pense à ton souvenir le plus beau et vas-y. Ils pourront faire ce qu’ils veulent de ton enveloppe charnelle, mais jamais ils ne pourront te briser si tu n’y es pas’’. Ces mots avaient été suivis d’un clin d’œil. Je doi

n endroit où je pourrais décider quoi faire de mes journées, quoi faire de mon corps, que manger… Je m’imagine travailler, qui sait je pourrais être styli

e. Le reste de ma journée, je rendrais visite aux nouveaux nés que j’ai aidé à mettre au monde. Oh je ne vous l’ai pas dit mais je fais des visites à domicile. Le bruit d’une porte qu’on claque me ramène un peu dans la réalité. J’entends des p

direction avant d’allumer son vieil ordinateur pour reprendre son match d’hier ou de ce matin, ou peut-être est-ce un nouveau ? Je ne saurais dire exactement. La seule chose que je sais avec certitude, c’est que je viens

is inchallah, un jour je serais libre. Assez pour découvrir ce dont je suis capable… Je le jure, que ça soit dans cette v

d Al

e peut, comment mes parents ont-ils pu vivre avec une douleur pareille ces trente-cinq dernières années ? Je me laisse allez contre l’épaule de ma grand-mère, avec mon poing dans ma bouche pour étouffer mes pleurs, des bras que je reconnais comme celle de Ma m’encerclent par derrière. Assis tous les trois sur le tapis de prières de Nana

touré des gardes du corps ou roulé dans une voiture hyper sécurisée. Je veux dire que ma famille n’est pas seulement riche, mais elle fait aussi parti d’une des plus anci

ue la nôtre sans quelques squelettes dans ses placards, mais jamais au grand jamais je n’ai s

t-ils que j’existe ? Se souviennent-ils de Ma ? De Pa ? Sont-ils vivants ? Je jure par Allah qu’a compter d’aujourd’hui, moi Farid Quasim Al-Naser je n’aurais de cesse avant d’avoir trouvé des

Assam et de la reine Myriam Al-Naser et je fais le serment de ramener

i’’ un des personnages des plus mystérieux revient. Sauriez-vous deviner lequel ?

l

: ‘’un débu

ari

ormations qu’ils avaient récoltées au fil des ans. Il se trouve que jamais ils n’ont arrêté de chercher. Pendant trente-cinq ans ils ont ratissé le globe suivant toutes les pistes imaginables, des plus farfe

ncompétence. Le manque d’expérience ne lui pose pas de problème, dans la mesure où il considère que personne ne naît avec la science infuse. Mais dès l’instant où il se rend compte que la personne en face d

nne son avis sur la question, ma passion soudaine de sports de plus en plus extrême l’inquiétant au plus haut point. Mais bien entendu, comme à son habitude, mon père avait réservé son avis sur la question sans pour autant m’encourager ou encore me dissuader. J’avais toujours été sportif, j’avais pratiqué quasiment tous les sports à ma disposition : de la boxe anglaise, de la nage, du foot, la course en passant par le tai-c

si enivrant que conduire une moto et la pousser à son maximum. C’est érotique, aussi puissant qu’un orgasme. Après cette première fois, je me suis arrangé pour qu’il me donne des cours de conduite, en secret bien sûr. Du moins je le croyais… Car rien n’échappe à la vigilance

confiant d’avoir mon père dans le comité, ça me donnait un certain avantage. Du moins c’est ce que je croyais. Ce jour-là j’ai appris de Assam Hakim Al-Naser, roi du royaume de Madras, une importante leçon : ‘’il vaut mieux être trop préparé que pas assez’’. Ils m’ont tous laissé exposer mon projet. Aucun d’eux n’a émis de commentaire pendant ce qui m’a semblé une éternité. Ensuite mon père a pris la parole pour me question

st posé au coin, et tout autour des caisses et des caisses de documents. Pour tout dire, trente-cinq ans de fouilles, d’espoir, à récolter la moindre information, sont réunis dans cette pièce. Et ça fait plus de deux semaines que j’y passe mes journées. Je ne me lève de ce bureau que pour faire mes prières, aller

st pas tout seul, car ma mère est avec lui. Elle tient un plateau dans les mains duquel s’échappe des odeurs appétissantes,

es sourcils

l tient une bouteille d’eau et un verre. Ma rit

uand elle enlève la cloche, je lui saute presque dessus pour la r

eu cet effet sur moi. Au point où nana à toujours plaisanté en disant que si jamais je me disputais avec ma future, la première question qu’elle poserait serait de savoir si j’avais mangé. Pendant près d’un quart d’heure je mange en silence, quand ma faim s’est u

chercher,’’ ré

nait aussi bien ces dossi

t mesure qu’ils nous parvenaient, donc dis-nous.’’ Il marque une pause, ‘’Qui sait ? Peut-être que maintenant

en priant’’ Elle essuie une larme ‘’je ne veux pas la voir se flétrir si nous mettons trop de temps à trouver quelque chose.’’ Ell

evrais tout recommencer à zéro. Je leur souris ‘’toute nouvelle information, quelque chose qui vous aurait échappé, une note, quelqu’un, n’importe quo

ossiers à fouiller, à examiner dans les moindres détails. Tant qu’on n’aura pas fait le tour, je ne perdrais pas l’espoir de trouver un quelconque indice.

ard horrifié, rempli de larmes ‘’Ya Allah’’ c’est tout ce qu’il me faut pour me lever et allez me placer der

mes parents, mon regard passe de l’un à l’autre et je suis sûr que sur mon visage se lit la question que ma mère vient de

t relus tous les comptes rendus concernant la disparition de

rès leur dissolution et nous n’avons jamais pensé à le regarder, v

ions la lire, ce n’est pas une note mais un fax d’un certain Smith qui dit : « j’ai peut-être des inf

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