Des cris sous des murmures

LES RET

ersonne m’appelé comme ça et surtout depuis que je porte le nom de mon père) mefire Sabine

eurs ça ne pouvait pas être lui je ne compte pas le nombre de fois où je me suis retourne dans la rue au son d’une voix proche de la sienne en croy

est plein à craque après avoir passé la douane je m’apprêtais à me diriger vers la zone de taxi l’ami de mon on

pres yeux, l’homme, l’ami, le compagnon dont la perte avait fait de moi une femme sceptique et endeuillé. Une femme qui avait peur par des hommes en eux-mêmes mais des sentime

e dévore des yeux quand mon regard croise le sien je suis paralyse ses yeux d’un noir profond toujours à l’affut comme ceux d’un lynx et cette scène me ramené 15 ans en arrière à ma première rencontre avec lui, j'allais fête mes treize ans, à l’époque où ma famille c’était juste ma mère, mon frère et ma petite sœur (papa ne vivait pas avec nous pour des raisons indépendantes de sa volonté vous comprendriez plus tard) . On aménageait dans un nouveau quartier je ne me souviens pas très bien avec qui j’étais mais j’étais pied nus mes sans confiance comme leur nom l’indique m’avait lâché avec des tresses vielle de trois semaine je portais une jupe plisse de couleur grise et un chemisier et je devais traverse le centre du quartier doté d’une grande place qui normalement est une route mais sert beaucoup aussi de mini terrai

j’étais certain