Le Milliardaire Vengeur

Al

e je travaille pour un véritable tyran, mais au moins, j’ai un bon travail. Je prends chaque petit pas que je fais comme un miracle de la vie et il est absolument hors de question que je me plaigne de ça, j’ai failli

st tellement attentionné et tendre avec moi qu’il m’a promis que nous ferons l’amour uniquement quand je me sentirais prête, pas que je sois encore vierge non, c’est juste que je n’ai jamais véritablement ressenti de plaisir. Après un an, je pense que c’est le moment. J’ouvr

use pour me maquiller comme me l’a conseillé la maquilleuse, je souligne mes yeux bleus avec du khôl et mes lèvres d’un gloss. J’enfile mes talons et mon manteau, je me contente de libérer mes cheveux, puis je passe la main dessus en les secouant doucement. Je me place devant le miroir pour admirer le résultat. J’ai presque du mal à me reconnaître, ce carré ondulé me va à merveille, mes cheveux rouges n’ont jamais eu autant d’éclats. J’ai presque du mal à me reconnaître, je mets la bouteille de vin que j’ai prévu à cette occasion dans mon sac à main et je sors. Je prends un taxi pour la partie riche de Portland, j’ai même eu du mal à accepter qu'un homme aussi riche que Marc puisse s’intéresser à moi, je ne suis pas vraiment comme toutes ces femmes que l’on aborde dans la rue. J’ai une énorme poitrine et surtout,

être avec ta petite

e moi. Je fronce les sourcils en reconnaissant la voix, c’est celle de Nicole

à elle me donne des maux de tête. Elle est si ennuyante, m

paire de lunettes que je porte

e bibliothécaire de soixante ans. Je suis certain que même

e pose une main sur ma bouche pour m’empêcher de pleurer.

l’imagine recouverte de poils sous ses affreux jupons. Si ce n’était pas parce que j’avais besoin de redorer mon image de playboy pour les électi

bas des escaliers, ma chaussure se mêle dans le tapis et je tombe face contre terre, ce qui fait un bruit sourd. Ma frustration et ma colère a

icia

puis j’ouvre la porte et je sors en la claquant. Il ne prend même pas la peine de me suivre. Je baisse la tête et je marche pieds nus jusqu’au portail, en sortant je croise le regard triste du vigile qui a l’air de me dire tu y croyais vraiment ? Une fois sortie de là, il se met à pleuvoir, je me mets à hyper v

allez b

’ai l’impression que je me suis ouverte l’arrière de l

failli me rentrer dedans !

ez plantée au beau

de mon cœur s’accélèrent. L’homme devant moi est juste parfait ! Ses yeux rieurs me mettent tout de suite en confiance. Il a des pommettes

n ? ” Me demande

e d’avoir été surprise à le dévorer des yeux. Quelque chose en lui

que je suis

sans ma permissio

ve mais je préfère vous

No

is regarde à nouveau mes mains. Je continue de regarde

ourquoi votre visage m

et de peur mêlée apparaît s

candidat à l

rappelle des soirées qu’il a passé à me parler de lui, en mal bien sûr. Je le regarde d’un air méfian

les fesses contre le goudron,

i faire. ” Même si j’

je vous raccompa

udain une idée diabolique ne vient en tête. Je vais faire mal à Marc autant que lui aussi m’en a fait. Il va payer pour s’être moqué de moi. Je vais me donner à l’homme qu’il déteste le plus au

n fiancé et ma meilleur amie, couchent ense

ble sourire naît sur son visage. Il m’aide