Le village sans nom

oment-là. J’étais assise sur le siège arrière de la voiture, en face de mon grand frère, lui aussi était triste, il n’a pas parlé pendant le voyage. Je le c

n frère et moi quand nous avons appris la nouvelle. Nous avons pleuré toute la soirée les suppliant de rester ici. Mais quand on n’a plus d’argent, on ne peut pas en inventer… J’ai donc dû quitter ma meilleure amie Lisa, la seule qui me comprenne vraiment et qui soit prête à

e bientôt ! s’écria ma mèr

ieille maison où les seuls voisins sont les hiboux le soir ? Je pensais qu’ils faisaient ça juste pour nous remonter le moral et qu’eux aussi ils ne voulaient pas