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valise à ses pieds. Il embrasse l'Ile-aux-Moines, d'un regard intense. Enfin me rev
mée ; ses chemins étroits enjambent de mini-collines et de mini-vallons. Ses mini-bois de pins portent des noms idylliques : bois d'amou
e ; il reflète son amour pour son petit-fils, qu'elle accueille avec chaleur. Il en est heureux, pendant quelques instants il redevient gamin, devant ses
pas. Toujours aussi grand et toujours a
baiser retentissant, sur chacune de ses joues. Elle rit aux éclats, comme une petite fille s
as jamais. Allez viens, en
ires et les regards des gens, qui passent devant elles et de ceux qui sont assis à proximité. Les histo
reux ? Toutefois, les ondes ne suffisent pas pour les enflammer, il faut au mini
e aussitôt : « une femme avec le feu aux fesses, c'est du pa
ez vous plier de rire, je l'ai reçue hier dans ma boît
d'un homme, i
n petit
de c
re dur, com
il a fini
saule p
er, qu'il
z pas s'il vous plaît, c'est trop bête, nous allons mourir de rire et nos culottes... » Elle accompagne ses mots, en
je peux vous dire qu'à l'université j'ai connu une fille, du nom de Kareskakis, que j'avais surnommée, avec un brin d'humo
sur elle, dans un silence presque religieux ; ils la fixent avec interrogation,
translucide, qu'ils faisaient fond
uelques secondes, à la fin de sa dernière phrase, le silence s'est installé, avant qu'el
femmes libérées, qui n'ont pas peur de s'exprimer avec simplicité, gentillesse et un peu de verve crue, lui plaisent. Par contre, les chochottes, aux petites voix de
(breton cela s'entend) et se lève pour partir ; en passant devant elles, il incline légèrement sa tête pour les saluer, en appuyant son regard d'homme en vacances, disponi
t pas nées de la dernière pluie et pour les favoriser, il sait qu'il pourra comp
che ; il prend l'appel d'un air chagrin, faisant même la mo
aux Moines, je n'ai pu résister. Je suis dans l'embarras, mon second est indisponible et comme votre perspicacité n'est plus à prouver... Il me faudr
Mes touches non négligeables, auprès de la gent féminin
ue peu de temps, tout du moins je l'espère ; car avec votre aide, cette enquête va être menée tambour battant. Si vous acceptez, votr
n large sourire illumine son visage ; même si ses flatteries à deux balles, il n'en a cure
us retrou
i répond
vu dans une heure trente : pour le prendre en ma compagnie, il vous suffit d'appuyer un peu sur le champignon, mais encore libr
Groix. Il regarde avec attention autour de lui ; un homme assis à la cafétéria semble en attente... Un léger sourire satisfait effleure ses lèvres, en le reconnaissant ; une description précise de sa personne a dû en être faite par le commandant, car il se lève aussitôt la main droite tendue. En quelques secondes, le capitaine Barnès est jaugé et détaillé, d'un seul coup d'œil : de taille plutôt moyenne 1,60 m, 1,65 m tou
satisfaction est grande, de faire enfin votre connai
main est vigoureuse. Le capitaine Le Goff, qui n'est pas en reste avec la sienne, également très mâle, aurait poussé un cri, s'il n'avait anticip
vous voir. Vos compétences ne me sont pas inconnues.
our tout ce qui touche à la Bretagne ; d'être sur la même longueur d'onde, est bien agréabl
lément susceptible de les interpeller et seulement ensuite, avec le rapport d'autopsie, l'heure de la mort, le passé et le présent des victimes, toutes l