Derrière le rideau, Sigismond ?

c’est la prés

tor

pit

quelque part

dors,

y, je t’écoute

’ai une idée, j

Tu auras le t

pas ! Je vais

commencer ! Bonne nuit, Jo ! Chauffe tes

ns notre lit, mais je c

n livre s

ne et personne ne nous connaît,

e ; à notre âge, on commence à faire partie du patrimoine et le patrimoine doit

tout ce que tu voudr

a mar

histoire de Steph et de Jo, deux incon

-pièces construit aux nouvelles normes à Espalion, petite ville de l’Aveyron chargée d’Histoire où nous nous préparons à passer l’hiver, la bell

r la colline d’en face ! Comme dit Steph, pourquoi aller loin quand on peut faire court, que

i, mais tant qu’il me promet d’aller v

. Je croyais jusqu’ici tenir cette inquiétude permanente d’une enfance bousculée par la séparation de parents dont l’un voulait divorcer et l’autre pas. Pourt

rler, depuis les quelques signaux d’avertissement lancés par une attaque sournoise d’arthrose de la hanche qui m’empêche de le faire avec la souplesse d’hier enco

ar des millions de personnes dans le monde, je n’aurais peut-être pas entrepris d’écrire les joies et les tribulations de Steph et

de bain, alors que je m’apprête à passer sur mon visage une nouvel

t effrayant que ma vie est en train de couler entre mes doigts comme l’eau d’un robinet mal fermé alors que les temps actuels sont plutôt à l’é

au regard sévère qui l’a suivie ensuite fait place à celle d’une jeune femme souriante, mais réservée à laquelle je m’étais habituée en dépit de fines ridules et timides pattes d’oie qui annoncent la quarantaine. Est-ce parce que je me suis réveillée du mauvais pied que cel

ixe tel un juge impartial, un peu moqueur sur les bord

curieux, il me semble avoir déjà enten

ême à des gens très bien. Ce qui m’inquiète un peu pour le moment serait plutôt cette ride du lion, au-dessus du nez, qui persiste malgré le co

t pas exclusivement réservé au

ce que, peu avant ma naissance, ma mère désirait une petite Josette, seulement mon père étant de souche a

a fait penser à du jus d

s ont préféré m’appe

es

e savoir, on se voit tous les matin

t s’appeler autrement, approuve la glace…

’est réservé q

ton visage, on ne peut pas être plus

un mal de chien à enlever avant que ma grand-mère paternelle qui nous a élevés, mon frère, ma sœur et moi après le divorce de mes parents, ne me fasse la morale, car tout le

mon teint a pâli, mes cernes sont plus prononcés, mais enfin, la pomme que je suis ne va

le ; je constate qu’il te manque du tain

agis encore pas ma

, je